1. LE MARIN. L’infarctus. (3/3)


    Datte: 17/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dépucelé et après les bons moments avec Brigitte. Brigitte, sa mère qui pour protéger sa fille avec un peu de retard m’a tout appris de ce qu’aiment les femmes dans les jeux de l’amour et surtout du sexe. Et bien sûr Christine 2 avant qu’elle suive son amant. Christine que j’épouse au troisième mois de grossesse son ventre dans sa robe blanche commençant à s’arrondir, mais qui dans ces années-là était primordiale afin que la jeune fille soit considérée comme une jeune fille sage et éviter d’être prise par une, Marie couche-toi là pour employer une expression à la mode et éviter de dire pute. Pute, elle l’a été, car j’ai eu une femme qui sur mes sollicitations et ce que sa maman m’avait appris à accepter de se donner sans aucune retenue. Elle avait en elle tous les gènes de Brigitte et rien ne la rebutait, allant même jusqu’à me solliciter pour que je la sodomise. Je devrais dire comme elle me l’a dit. • Chéri, encule-moi ! Alors qu’elle était placée sur notre lit de noces en levrette mon fils déformant son corps qui dans la position faisait tendre son ventre vers le bas. J’étais content de sa demande, car comme tous les jeunes futurs papas, j’avais peur de faire mal au bébé en la baisant dans la chatte. Pendant tout le reste de sa grossesse, c’est comme cela que j’ai déchargé mon foutre dans son anus sauf une fois ou j’ai ripé et que mon vite a retrouvé sa vulve sans que je me rende compte du dérapage et où elle a crié son plaisir comme jamais elle l’a fait avec moi. ...
    ... Elle m’a rendu heureuse jusqu’au jour où le ciel m’est tombé sur la tête et qu’elle m’a quitté. Voilà les femmes de ma vie. Pour être complet je dois parler de la maîtresse que j’ai eue pendant mon mariage. • Bonjour Ange, vous avez de beaux yeux ! J’ai profité de ce qu’Ange soit penché sur mon corps après avoir défait mon pansement pour lui faire ce compliment. • Edith, c’est bon, regarde, il me parle, j’aime beaucoup ce compliment, mais je doute qu’il ait retrouvé toute sa raison, il m’appelle Ange, pourtant si je regarde bien sûr ma blouse, il y a marqué Isabelle. Monsieur, je m’appelle Isabelle. Sur sa blouse, ces ses nichons qui sont libres sous sa blouse que j’admire depuis que je suis réveillé et pour moi son vrai prénom à peu d’importance, car elle s’appelle Ange. L’effort fait pour dire cette première phrase est suffisant pour que, les pensées reviennent vers cette femme de diplomate qui a réussi à me faire renier mon serment le jour de mon mariage d’être fidèle. C’est à l’ambassade de France à Lomé au Togo où nous faisions escale et où je me suis retrouvé de tiers de corvée à faire de la figuration pendant que notre commandant entouré de son état-major nous obligeait à venir que, lorsque les discours ont été finis que cette jolie femme s’est rapprochée de moi. Immédiatement j’ai pensé à la femme à la DS de la pinède près de Toulon qui aurait pu être sa sœur qui m’a demandé si je m’amusais. • Je dois partir, vous m’accompagnez. Les discours terminés et surtout la ...