1. LE MARIN. L’infarctus. (3/3)


    Datte: 17/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Marseillaise jouée nous obligeant à nous mettre au garde-à-vous, nous étions libres de nos mouvements. C’est dans une voiture du corps diplomatique qu’elle m’a entraînée dans sa villa après avoir prévenu son mari de son départ. Je l’ai entendu s’excuser mais qu’il avait encore des obligations avec la réunion sur la situation au Togo dont il devait discuter avec tous nos officiers. Dans sa villa sans se gêner devant ses boys, je l’ai vu enlever sa robe en toile et me faire voir qu’elle avait été à notre pince-fesses entièrement nu. Elle a plongé dans la piscine, m’invitant à la suivre. J’ai enlevé mon pantalon blanc à pont et ma chemisette de la même couleur. J’avais un slip kangourou de l’armée impossible à montrer à une dame de son rang aussi avec le pantalon, je l’ai enlevé et je l’ai rejoint nu comme elle. Une femme et un homme nus dans une piscine, la femme venant vous prendre dans ses bras votre poitrine contre la sienne à vous la frotter et une langue qui entre dans votre bouche et qui tourne comme une toupie finie immanquablement malgré vos bons sentiments sur le matelas où elle doit se faire bronzer avec votre verge qui lui déchire la vulve. Comme ma belle-mère me l’a apprise, je la quitte créant une frustration de l’abandonner à la limite de son plaisir pour mieux rejoindre son clitoris et lui sucer une nouvelle fois à la limite de décharger, pour la mettre en levrette pour la prendre dans sa chatte pour mieux l’abandonner pour tenter la sodomie qu’elle accepte avec ...
    ... envie. • La chance que j’aie mon salaud, j’avais bien vu que tu avais une tête libidineuse et que tu me ferais grimper au rideau. Tu es aussi bon amant qu’Oman le boy de mon mari qui me la met dès qu’il est parti à son travail, la sienne est plus grosse et plus longue, mais il s’en sert sans fioritures comme toi. Omar vient, j’ai besoin de toi. Omar, semblant attendre l’appel de sa patronne arrive devant nous aussi noir que nu. • Allonges-toi sur le matelas petit, je m’empale sur ta bite si bonne pour mon intimité et Omar va m’enculer, vous allez m’éclater. Pour la première et dernière fois de ma vie, je sens la bite de ce noir ayant une tête de plus que moi se frotter contre ma bite me procurant une sensation jamais retentie et la salope prise en sandwich semble apprécier cette double pénétration et qui fait entendre à tout le quartier résidentiel qu’elle se fait ravager son vagin et son anus. • Omar, merci à vous, raccompagne le matelot jusqu’à son bateau, petit, tu resteras dans ma vie comme l’un des meilleurs moments que j’ai passé. Fier comme le coq que je suis, je monte en voiture et à cinq cents mètres de chez cette belle femme, nous croisons une voiture du C.D où à l’arrière j’aperçois le cocu magnifique. Voilà, je peux me lever et sortir de l’hôpital où Isabelle m’explique tout ce qui m’est arrivé, il y a presque trois mois après ma chute dans la ruelle où j’espérais retrouver l’ambiance de ma jeunesse avec Miquette, la première femme à m’avoir sucé la queue à la fin ...