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LE MARIN. L’infarctus. (3/3)
Datte: 17/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... des années 60. C’est au bras de ma femme, non future femme que je sors de l’hôpital pour aller récupérer mes affaires à mon hôtel qui m’attendent depuis mon accident. C’est sur les hauteurs de Toulon juste au pied du funiculaire qui monte vers le musée du débarquement qu’elle a son appartement. C’est dans le parc que nous nous sommes dit, je t’aime. Comme moi, elle est divorcée, car son mari buvait et la frappait. Je vais lui donner toute la quiétude qu’elle mérite quoiqu’elle refuse de quitter son travail me rendant jaloux qu’un autre patient tombe amoureux de ses yeux bleus. Question sexe, mon cardio qui est son copain et qui dîne souvent chez nous avec sa femme m’a donné quitus de faire ce que je voulais après mon pontage, mes examens montrent que j’ai un cœur d’un jeune homme de vingt ans. Isabelle par chance est démoniaque lorsqu’elle se donne et adore que je sois très prévenant dans mes rapports avec elle. À non, elle me fait faire quelque chose qu’aucune autre ne m’a demandé, lorsqu’elle est ...
... en levrette sur notre lit, elle adore que je lui claque les fesses jusqu’à ce qu’elle soir rouge et qu’elle soit obligée de rester debout pour dîner ou pour manger après ces séances de plus en plus souvent renouvelées. Enfin et j’arrêterai là mes confidences, chaque dimanche, même si la pluie tombe, nous descendons jusqu’en face de la porte de l’arsenal faire un coucou à la plaque que notre association a dévoilé à la gloire de Miquette pour après nous être souvenue rejoindre le quai aux souvenirs mangés chez Gaëtano pères et fils. Mais bien loin malgré la saveur de leurs pizzas de celle que je mangeais chez le père voire le grand-père dans leur minuscule restaurant situé non loin du théâtre et où le patron haut en couleur laissait régulièrement brûler un morceau de pâte à pain dans son four à bois dégageant des odeurs des pays du soleil. Et que dire de ses pieds-paquets divins et moelleux à souhait que nous dévorions l’un après l’autre ayant des appétits d’ogre. C’est cela le bonheur, j’en suis sûr…