1. Ma tante et sa fille complotent contre moi (8)


    Datte: 17/05/2018, Catégories: Gay

    ... l’ascenseur je ne sais pas ce qui m’a pris de toucher ton gars... Exxex... Excuse-moi. — Eh eh bonhomme, relax. Tu es libre de partir si tu le souhaites, on ne va pas te faire de mal. Mais quand tu dis que tu ne sais pas ce qui t’a pris, ça veut dire que tu n’es pas gay ? — Bah en réalité... si... Non... Je sais pas... J’ai sucé un ami il n’y a pas si longtemps, donc disons que je suis bi. — Aaah eh beh félicitations mec ! En tout cas il n’y a aucun problème pour ce qui s’est passé dans l’ascenseur, je ne peux pas t’en vouloir d’avoir eu envie de Quentin, je l’ai abordé de la même façon la première fois à la salle de sport. Et il partit d’un rire amical en s’enfonçant dans le canapé. — Ah oui ?! répondis-je, encore un peu stressé, mais terriblement intéressé. — Ouaais mon gars. C’était il y a un peu plus d’un an. On fréquentait la même salle de sport. Moi j’y étais inscrit depuis quelques années déjà, je suis un ancien rugbyman comme tu peux le voir (de nombreux blasons arboraient les murs, ainsi que des trophées en forme de ballon ovale), mais à la suite d’une blessure j’ai dû arrêter. Cependant j’ai besoin de faire du sport et donc je suis passé à la salle. C’est là que j’ai repéré Quentin, qui n’a pas autant de gras que moi, lui c’est du pur muscle ! Une vraie bête. J’ai tout de suite craqué pour lui. Je le voyais bosser en solo comme un acharné, pourtant de retour au vestiaire et sous la douche, il dégageait une sérénité incroyable. Le contraste m’a plu. Mais impossible ...
    ... de savoir s’il était gay. Et un homo ne peut pas se permettre de chasser dans une salle de sport. Seulement un jour la chance m’a souri. C’était un soir, il était très tard. On était en pleine semaine et il ne restait que nous à la fermeture. Il avait terminé son entrainement avant moi, et quand je suis rentré dans le vestiaire, j’ai vu que tout mon sac avait été vidé, et que mes fringues étaient répandues par terre. J’ai voulu gueuler mais j’ai de suite compris que mes affaires formaient un parcours au sol, qui me guidait jusqu’aux douches, où j’entendais l’eau coulée, et où la porte était ouverte... Et effectivement, Quentin m’attendait là, fort comme un ours, la bite en main, le corps plein de savon. J’ai fermé la porte et j’ai commencé à lui masser les couilles, j’étais en transe. Il est plus grand que moi, je lui embrassais le torse tout en le branlant doucement... Enfin bon, tu vois un peu comment ça a tourné. Il m’a laissé le branler pendant qu’on se dévorait la bouche l’un l’autre et on est rentré ensemble chez lui. Notre amour était né. — Ouah, quelle superbe histoire. Mais comment a-t-il su que tu avais des vues sur lui ? Quentin arriva à ce moment, un plateau lourd de délicieuses choses dans les mains. Il me répondit directement : — Parce que j’avais vu avec quelle intensité il me regardait m’entrainer. Ce vilain coquin ! Allez, faites un peu de place, il y a plein de bonnes choses à se mettre sous la dent. Et Max d’ajouter : — En tout cas Quentin, tu avais vu juste ...