Ma tante et sa fille complotent contre moi (8)
Datte: 17/05/2018,
Catégories:
Gay
... je crois, notre ami a l’air d’être monté comme un cheval... Et les deux colosses me dévisagèrent, leur regard passant de mes yeux à mon jean qui, je ne l’avais pas senti, était massivement déformé par ma queue qui était d’une vigueur considérable. Je ne m’en étais pas aperçu, mais l’histoire de Max m’avait énormément excité. Quentin fit un geste de tête à Max, qui retira son t-shirt, posa doucement sa main sur ma cuisse droite, et se rapprocha de moi. D’une délicatesse infinie, il prit ma main et la dirigea vers son corps qui m’excitait tant ses muscles étaient gros et sexy... Le contact me fit frissonner... Je laissai trainer ma main sur ses pectoraux et ses tétons tandis que ma bouche trouvait la sienne... Je ne vais pas vous mentir. J’étais déçu de mes choix dernièrement. J’aurais aimé que Camille soit ma première queue en bouche et ma première dégustation de sperme, et aujourd’hui, j’aurais préféré que mon premier baiser soit avec Quentin plutôt que Max. Attention, Max était un homme sublime, il était tout aussi beau que Quentin, mais il y avait eu ce truc inexplicable avec Quentin, cette sensation de vouloir être à son service, à quatre pattes devant lui et répondre à toutes ses exigences sexuelles... Bref. J’aurais aimé que ce soit lui mon premier. Mais Max me bouleversait. Je n’avais jamais connu un baiser aussi musclé. Clairement Max était le passif du couple, ses mains s’agitaient sur ma jambe et il salivait énormément. Je suis sûr qu’il avait envie de voir ma ...
... grosse queue. Moi aussi je prenais du plaisir à ça. C’était étrange. Agréablement étrange, que d’être désiré par cette montagne de muscles. Je me détachai de la bouche de Max. J’avais envie de lécher son corps, son torse si bombé... Mais il me plaqua contre le dossier du canapé et se pencha vers ma braguette. Quentin était derrière le canapé et il se mit à me caresser les cheveux, m’invitant à tourner la tête vers la gauche... J’y découvris sa bite, lourde comme je l’avais imaginée, posée sur le tissu du canapé, attendant que je la prenne en bouche. Quelle verge incroyable. Je ne me rendis même pas compte que Max m’avait retiré mon froc et avait commencé à s’extasier sur la longueur de ma bite, tant le sexe de Quentin était beau. Une vraie œuvre d’art. Un boudin sculpté par Rodin. D’un diamètre imposant, d’une couleur caramel appétissante, parcourue de somptueuses veines, et surplombée d’un gland taillé au couteau, le chapeau se détachant superbement de sa bite. Une véritable merveille. Je restai bouche bée devant ce chef d’œuvre. Je levai les yeux pour regarder Quentin qui me caressait toujours les cheveux affectueusement, sans me presser. Je le regardai amoureusement, admiratif, lui demandai de se déshabiller car j’avais besoin de voir son corps, le toucher, goûter à sa peau salée pleine de sueur, sentir ses muscles encore tendus. Il retira ses fringues avec lenteur... Je découvris une merveille de la nature. Il était entièrement épilé, ce qui mettait ses formes en valeur. Il ...