Ma tante et sa fille complotent contre moi (8)
Datte: 17/05/2018,
Catégories:
Gay
... était beau. La vraie Beauté. Max ne me suçait pas trop mal, mais je m’en moquais. Je bandais dur grâce à Quentin, à son odeur, l’odeur de sa bite qui était maintenant juste sous mon nez, et non grâce à la fellation de Max. Mais il avait l’air de s’amuser, tant mieux. Je m’approchai de la queue de Quentin, ce magnifique sexe dont le gland dépassait un peu du canapé, alors que le corps reposait dessus. Je levai les yeux vers mon apollon, mon inconnu de l’ascenseur, et, mes yeux dans les siens, je sortis ma langue qui vint soutenir son frein, s’enrouler autour de son gland, le soulever pour que je le prenne en bouche... Ma bouche abondant de bave qui coula derechef... J’y étais. Je l’avais en bouche. Ce gland était monstrueusement épais. Un vrai délice à sucer. J’y allais doucement, je le tétai, le mâchouillai avec mon palais, l’aspirai en faisant des bruits de bouche qui, je le voyais, car je le fixais, lui plaisait énormément. Slurrrrp,... sllllurp,... sssssssssss... sssSSSHPP ! Je crachai ma bave gluante sur sa bite... AAAhhmmm... je reprenais aussitôt son gland en bouche. Je ne suçai quasiment que ça. C’était déjà assez conséquent. Il me laissait carte blanche, sans me guider, caressait seulement mes cheveux avec tendresse... ssllluurrrppp... ffffff... hmmm, hmmm... slppp... ooaaah... Je le regardai et, sans prononcer un seul mot, articulai : « Je veux être ta chienne »... je finis cette affirmation en laissant pendre ma langue qui dégoulinait de bave... Quelque chose ...
... changea dans le regard de Quentin, qui passa d’ange à démon. Il se mordit les lèvres et me fit de grands signes affirmatifs avec sa tête. Il prit alors la mienne avec ses deux mains, fermement, et commença à baiser tendrement ma bouche, poussant de plus en plus loin... Plus je m’étouffai, plus les larmes coulaient, plus je souriais et gémissais comme une trainée en lui disant tant bien que mal « encore ! » ou bien « plus profond ! ». Je gémissais comme une petite catin, j’adorais ça, et Quentin devenait de plus en plus fougueux. Sa façon de bander était différente de la mienne. Moi j’étais dur comme du béton, lui restait assez souple, ce qui rendait sa queue encore plus délicieuse à sucer, et quand il s’enfonçait dans ma gorge, la sensation était moelleuse, pleine, cotonneuse. Je sentais qu’il était au bout, il était proche de l’orgasme. Son corps était de nouveau recouvert d’une fine pellicule de sueur, ses yeux commençaient à rouler de plaisir dans leur orbite... Il allait jouir grâce à moi. Cette pensée me fit jouir alors que Max m’avait en bouche. Mon orgasme était plutôt fort, ce qui me fit lâcher la queue de Quentin pour gémir de plaisir. Ce double spectacle – Max en train de se faire éjaculer dans la bouche, du sperme s’échappant de ses lèvres, et mon visage déformé par le plaisir, la bouche ouverte, les lèvres baveuses – fit jouir Quentin, qui se branla en visant ma bouche et mon visage. Quand je sentis les premiers jets s’écraser sous mon nez, je sautai sur Quentin pour le ...