1. La solution


    Datte: 17/05/2018, Catégories: ffh, 2couples, hagé, couple, extraoffre, amour, intermast, Oral 69, pénétratio, hsodo, échange, amourdura, entrecoup, fbi, hbi,

    ... mais entièrement nus cette fois. Elle a poussé des hauts cris, mais son indignation sonnait faux car elle appuyait en même temps sur la sonnette. Au moment d’entrer, je l’ai dévisagée d’un air moqueur, elle a rougi et détourné la figure. Mon ancien collègue nous a accueilli chaleureusement. Mis au courant de nos déboires avec Joseph, il m’a assuré qu’il allait faire le nécessaire pour le radier du club, et nous a présenté un ami en qui nous pouvions avoir toute confiance. Cet ami ne nous a pas déçus. Il ne s’est pas formalisé des réticences de Francine et nous a entraînés dans un salon particulier, où ma femme a consenti à se dévêtir. J’ai retrouvé avec délice les sensations découvertes la première fois, amplifiées par le contact de nos épidermes, et je suis sûr qu’il en a été de même pour elle. Nous sommes maintenant des habitués du club où nous nous rendons environ une fois par mois. On nous appelle les Inséparables car aussi bien Francine que moi refusons toute étreinte hors de la présence du conjoint. Nos partenaires ont en effet vite compris que si je ne pouvais plus honorer des personnes du sexe dit faible, je n’étais pas opposé à recevoir des hommages masculins. Le plus ...
    ... souvent, nous nous faisons pénétrer simultanément pendant que, face à face, nous nous embrassons et que sa main masturbe ma queue… qui n’est jamais aussi grosse que dans ces moments-là. Non, je ne regrette pas ce qui m’est arrivé, ce que d’aucuns qualifieraient une infirmité. Moi, je dirais plutôt que j’ai eu de la chance. Avec cette épreuve, notre couple s’est soudé et nous vivons une existence épanouie. Le jour, je m’occupe en bénévole d’une association de réinsertion par le travail et le soir, Francine et moi partageons de tendres moments dans le lit. Elle m’assure que les week-ends avec Laurette et Georges et les soirées au club suffisent à combler les besoins sexuels que je ne peux satisfaire. Je regarde l’heure. Il se fait tard. Francine va bientôt rentrer du travail et Laurette et Georges ne vont pas tarder. Ce soir, c’est mon tour de recevoir leurs caresses. Je sais que les deux femmes se disputeront ma petite queue. J’adore quand leurs bouches se referment sur mon sexe mais j’ai une préférence pour Francine, qui seule sait faire rouler le gland entre la langue et le palais. Ah ! Se faire sucer par elle pendant que Georges introduit sa bite dans mon cul… le plaisir ! Fin 
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