LE SERVICE.
Datte: 18/05/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... plancher. Ma joue câlinant l’intérieur d’une cuisse gainée, je respirais son sexe à plein poumons. Comme sous l’emprise de cette drogue, je poussais plus loin son périple. Plongeant mon visage au milieu des cuisses écartées et conclut la chute sur la figue, ma langue en caressait déjà le corps. - Alain, que vas-tu faire là ? - L’amour, lui répondis-je. Bascule ton siège, tu seras mieux. Apparemment, elle n’avait jamais bénéficié d’un cunnilingus, comme certaines femmes de cette époque. Elle s’exécuta en minaudant. Ma langue s’immisça dans sa fente. Son goût était particulier puissant au point d’imposer son arôme dans toute ma bouche. Plus je la savoure plus j’en voulais davantage. Tout cela me convenait parfaitement. Je l’entendais émettre des soupirs. Je lapais furieusement avec l’urgence d’une bête assoiffée. Ses doigts se glissaient dans ma chevelure. Imprimant à ma tête un lent mouvement de poussée vers son vagin. J'entreprenais d’éponger sa source. Essuyant de ma langue, un crème devenu de plus en plus épais. Elle se tendait, se tordait. J’étais fier des sensations que je lui offrais. M’appliquant comme un orfèvre. Dominique me tenait fermement la tête tandis que son bas-ventre venait de plus en plus rapidement à la rencontre de mon visage. Malgré toute cette effervescence, mes sens restaient néanmoins en alerte. Ce fut alors que mon oreille détecta un bruit de moteur d'automobile. Tout proche, roulant sur du gravillon. Submerger d’une soudaine panique, je relevais mon ...
... visage trempé de sécrétions vaginales. Je me redressais légèrement, malgré l’emprise de ma partenaire. Je jetais un coup d’œil discret entre le tableau de bord et le volant. Je reconnais le fourgon municipal, c’était le gardien. La présidente, bouche ouverte, les yeux fermés, transfigurée par une angélique expression de jouissance ne s’était aperçus de rien. Ce fut avec une mâchoire crispée par une crampe ainsi qu’une langue qui me brûlait que j'allasse au-devant du gardien. Il avait déjà ouvert les portes arrière de son camion. J’avais l’impression de porter sur moi le parfum de chatte. Après les saluts d’usage, il me fit un petit court sûr comment installation des filets sur leurs supports. Dominique vint nous rejoindre. Elle portait sur son visage les stigmates d’une femme qui venait de prendre son pied. Mais c’était loin des préoccupations de notre gardien. Il ne pensait qu’à une chose, remplir sa mission et filer au plus vite. D'ailleurs tout de suite après avoir charrié les filets dans mon coffre, il avait insisté pour aller faire l’état des lieux. Le tout avait à peine pris quinze minutes. - Eh bien, c’était un rapide celui-là . Fils-je. - Tant mieux, répliqua Dominique, l’œil brillant. Verrouillant la porte d’entrée du vestiaire. Nous avons quelque chose à finir. Non, tu ne crois pas ? Elle m’embrassa à pleine bouche. Sa main se posa sur mon ventre et me malaxa la verge à travers le jean. Ma respiration s'embrouilla. Mes battements cardiaques s'accélérèrent. - Tu es ...