1. LE SERVICE.


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... meilleure assise, elle écarta les jambes. Dans son mouvement elle fit tomber la chantilly qui roula sur le sol. Une idée illumina mon cerveau. Je m’en suis saisis avant d’en déversais tout le long de la raie des fesses. Après avoir mis débarrassé de mon entrave, je suis monté sur le canapé et plongeai ma tête sur son croupion. En partant de sa chatte, ma langue remontait sa raie. En suçant tout sur son passage. La chantilly, la mouille, mais aussi mon sperme. Son anus dilaté semblait vouloir me parler. Mais aucun son n’en sort sortir. Il baillait d'envie. Je me mis à embrasser son imposant fessier au goût de sucre vanillé. Je lapais le disque anal avec dévotion. J’enfonçais mon pénis lentement mais résolumens dans son anus. Petit à petit, il disparut dans ses chairs. Madame la présidente miaula de ravissement. Ma queue était entièrement dans son cul. À l'intérieur de son rectum, je me mis à le faire gigoter en tous sens. Madame la présidente ronronnait de plus belle. Allant jusqu’à embrasser le tissu du divan. - Aaaaaah ... Oui Alain ... C'est bon. Je la chevauchais de plus en plus énergiquement. Voulant jouir avant l’arrivée du cocu. Mes mains fermement cramponnées sur ses hanches. Ses chairs anales refluaient et s'enfonçaient à chaque va-et-vient. Mon excitation grandissait. La cadence s'accélérait encore. Dominique poussait des cris rauques à chaque poussée. ...
    ... Je l'enculais avec une telle vigueur qu’il était évidemment que mon plaisir allait me rattraper. Je lui explosai encore une fois dans le cul. Elle reçut mon foutre dans ses entrailles. Je me retirais d’un coup de reins en arrière, alors qu'elle se retourna. Je n’ai pas pu m’empêcher de malaxer son sein droit à travers le chemisier. - Je regrette de m’en être occupé. - Une prochaine fois, lâcha-t-elle. Signe qu'il y aura une suite. Je venais de trouver une bonne partenaire et elle le moyen de prendre son pied. - Tu sais que je n’ai jamais trompé mon mari jusqu’à maintenant. Tiens-toi le pour dit. Je ne sais pas si je dois la croire sur parole. Mais cela n’était pas mon affaire. - Oh ! S’exclama-t-elle, mais tu bandes de nouveau ! En me prenant entre deux doigts. - Je pensais t’avoir vidé les couilles. Il t’en reste encore . Quel dommage qu’il faille que nous redevenions gentils. Tu reviendras me voir . - Bien sûr, affirmais-je, dans une dernière malaxation, avant de me revêtir. - Cette fois-ci je saurais te vider complètement les couilles ! Fit-elle en se rajustant. - J’ai hâte de voir ça, lançais-je en enfilant mon slip. Nous nous dévisageâmes quelques secondes. Mais alors qu’elle allait sortir du salon pour déverrouiller la porte d’entrée elle se retourna pour me dire : - Sache que toutes les portes de chez moi sont ouvertes pour toi. De la petite à la plus grande… 
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