1. LE SERVICE.


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Je n’ai pas honte de moi. Même si ma discrétion peut faire illusion. Je vous avoue que les contraintes que je m’impose dans le domaine de la discrétion me pèsent énormément et que de temps en temps elles volent en éclat. Je n’ai donc pas honte d’être comme je suis. Mes envies, mes fantasmes, mes déviances je les assume parfaitement… J’étais à table en train de savourer ma tranche de foie aux petits pois lorsque la sonnette du téléphone se fit distinguer. Comme souvent ce fut ma mère qui allait répondre. Je l’entendis discuter quelques instants, avant de poser le récepteur sur le meuble et vienne jusqu’à moi, dans la cuisine. - C’est pour toi. Une certaine Dominique. Me lança-t-elle. - Dominique ? Fils-je incapable de donner immédiatement un visage au prénom. - Oui, dis-je, en collant le combiné à mon oreille. - C’est moi Dominique. Il m’en fallait pas plus pour reconnaître mon interlocutrice. C’était bonnement la présidente du club dont j'étais l'entraineur. - Je m’excuse de te déranger, mais j’ai un gros problème et je ne savais à qui faire appel, vois-tu ? - Non… non, t’excuse pas. Tu as bien fait de m'appeler. Il s'agit de quoi; - J’ai le gardien du complexe sportif qui vient de m’appeler, pour me signaler qu’il sera à 13H30 sur le terrain annexe pour me déposer les filets ainsi que la clé des vestiaires. Mais voilà, mon mari est parti jouer dans la région parisienne et il a pris notre voiture, donc je suis à pied, et je me vois mal charrier les filets sous mes bras. Et à ...
    ... part toi je ne vois pas qui appeler. - Bien, je m’en occupe. Je finis de manger et je fonce au rendez-vous… - C’est que… - Oui, la coupais-je. - Il faut qu’un membre du bureau soit sur place pour pouvoir réceptionner les filets. - Oui bien sur je vois. Comme je voyais aussi que j’allais gâcher mon samedi après-midi. Ce fut tout de même à contre cœur que je lui proposais : - Bon, alors je passe de prendre. - Oui avec plaisir. Tu m’en veux pas au moins . - Non, non… Faisant comme ça ! Fils-je déçus. Mais le plus désagréable dans cette affaire c’était que j’avais me coltiner son fiston Thierry. Un agité que rien ne calmer. Même la punition. À l’heure dite, je fus chez elle. Je constatais que pour une fois elle était prête. Vêtue d’une jupette assez courte, en coton tellement moulant qu’elle épousait le sillon de ses fesses autant que le renflement de son sexe, mais aussi le début de ses cuisses grasses. Aux pieds elle portait de jolis escarpins qui accentuaient la cambrure musclée de ses jambes gainées de résille fantaisiste ornés de ce que je devinais être des roses. Plus haut, elle portait un chemisier. Dont les boutons du haut étaient ouverts. Formant un décolleté tentateur, qui révélait aux regards insidieux, une absence de soutien-gorge. Une vraie récréation pour ses gros seins. Qui ballotaient lourdement à ses faits et gestes. Un frisson me parcourait tout le corps. J'étais tombé sous son charme. Le fait de voir autant de belle chose en si peu de temps, me réconcilia avec ...
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