1. Einstein (14)


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Zoophilie,

    A bon port ? — Maryse... tu es la plus... — Chut ! Pas un mot. Ne gâchons pas ce moment de plénitude. J’avais envie toi aussi et voilà. Savourons en paix cet instant qui vient de nous réunir. — Tu as encore raison. Devant la porte d’entrée, le tas de fringues emmêlé donnait une idée du degré d’excitation qui avait donné le la à cette partie de jambes en l’air. Quand il l’avait embrassé, tout était devenu confus en elle. Ses sentiments jusque-là plutôt discrets avaient ressurgi violemment. Une envie intarissable, une envie de faire l’amour et sur ce plan-là, il s’était montré à la hauteur. Elle estimait que le film devait être pour une bonne part dans cette stimulation, cette chaleur qui l’avait envahie. Pas de fioriture, pas de superflu, juste du sexe à l’état pur. Et leurs deux corps surement émoustillés par la vue de ce flic et de cette belle mystérieuse avaient laissé des traces, renforcé leur désir. Le reste n’avait plus été qu’une joyeuse mêlée. Elle n’avait pas cherché midi à quatorze heures, se laissant faire, mais donnant aussi tout autant qu’elle recevait. Elle l’avait touché, humé, léché. Lui l’avait également tripoté, découverte sans apprêt, sans fard. Et les appétits communs les avaient réunis dans un corps à corps épique. Les soupirs avaient fusé, les cris aussi quand il l’avait empalé sur un jonc tellement raide et dur que c’en avait été un bonheur. Elle n’avait pas compté ni minuté le temps que Guillaume l’avait monté, aussi bien face à elle que dans ...
    ... d’extravagantes positions. Le livre du Kamasoutra avait-il encore d’autres pages à explorer ? Elle avait eu quelques orgasmes bien sentis, grâce à une langue agile, puis par ses doigts dont il se servait si bien. Elle avait eu aussi un avant-gout de son sperme dans la bouche, mais il avait su se retenir pour continuer leur jeu. Prise à la missionnaire, et dans tellement d’autres positions qu’elle n’aurait su dire combien, son corps avait enfin explosé dans un monde de couleurs et de senteurs enivrantes. Maintenant, allongés l’un contre l’autre, ils reprenaient leurs esprits. Guillaume gardait une main active sur sa poitrine. Il jouait avec les bijoux qu’il avait découverts sans pour autant sembler surpris. En lui léchant le clitoris surement que les anneaux placés là, n’étaient pas passés inaperçus. Mais il s’était abstenu de tous commentaires. Maryse était bien. Dans sa chair et dans sa caboche, tout était bien rangé. Depuis trop longtemps cette plénitude, cette harmonie entre l’un et l’autre n’était plus en phase. Une respiration normale, et cette patte qui courait sur son téton, tiraillant sans violence excessive sur la minuscule barre dorée plantée en son milieu, elle appréciait le silence qui suivait l’amour. L’homme à demi tourné vers elle, elle sentait contre sa hanche la queue qui reprenait de la vigueur. Et cette fois les doigts masculins se dirigeaient de nouveau, vers son nombril. De là, il n’y avait plus qu’un détroit bien mince pour amerrir sur la conque encore ouverte et ...
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