1. Einstein (14)


    Datte: 18/05/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... que ça ne peut pas attendre demain. — Non ! Regarde mon Einstein... il est nerveux. — Tu viens avec moi ? Et si nous y allions comme ça ? — Comment ça, comme ça ? Tu veux dire à poils ? — Ben... oui, ce serait gênant pour toi ? Moi, tu sais, je m’en fiche. Et puis à cette heure tardive de la nuit, peu de risque que nous rencontrions beaucoup de monde. — Humm ! Bon, allons-y ! Après tout, le ridicule ne tue personne. — oooOOooo — Les quelques dizaines de mètres dans le noir à traverser avaient vu deux fantômes blancs courir sous la lune. Puis les deux mêmes silhouettes refaisaient le chemin inverse, mais avec un chien cette fois. Esméralda tout heureuse de revoir son maître n’avait manifesté aucune hostilité à l’endroit de Maryse. Elle avait simplement emboité le pas aux deux nudistes nocturnes. À la maison elle avait aussitôt fait la fête à son pote retrouvé. Quelques aboiements, puis une course effrénée sur la grande pelouse de la brune, suivie des yeux par les deux amants depuis la terrasse. La nuit étoilée engloutissait de son noir profond le couple de chiens trop intéressé par sa chevauchée pour penser à autre chose. Guillaume avait repris la main de sa conquête et debout devant le mobilier de jardin, les deux s’embrassaient comme s’ils l’avaient fait depuis toujours. Elle frissonnait sous ce baiser langoureux et frottait son pubis contre celui de son nouveau mâle. Lui sentait remonter la forme en lui et c’était sur la table de bois extérieure qu’il la reprenait presque ...
    ... sauvagement. Elle hurlait, mais cette fois avec la lune pour témoin. La lune et puis toute une faune invisible qui devaient partager avec eux le renouveau de l’amour. La copulation ne durait pas très longtemps, les hommes avaient aussi des baisses de forme, des instants où ils devaient recharger leurs accus. Et pour Guillaume cet instant était arrivé. Là-bas au fond du jardin, Esméralda et Einstein loin des soucis des humains apprenaient à se connaitre. Il la flairait partout et elle appréciait cette assiduité. Mais Maryse avait vu les gestes tendres des chiens, un pincement au cœur lui rappelait que son berger allemand pouvait lui aussi être un bon amant. Elle en gardait de bons souvenirs, mais elle ne trahirait jamais leur secret. Le chien non plus du reste. La nuit s’achevait dans le grand lit de la brune. L’homme y avait immédiatement trouvé sa place et il dormait paisiblement. Elle était levée depuis une bonne heure quand il arrivait à la cuisine, guidé par l’odeur délicate d’un bon café et des toasts grillés. Nu comme un ver, la bite en érection, il débarquait près d’elle. — Pardon pour ma tenue, mais... je n’ai pas retrouvé un seul de mes vêtements. Malicieusement Maryse rigolait. Ils étaient là, bien pliés. La femme avait tout ramassé en se levant ce matin. En la regardant, il remettait son slip. Parce simple mouvement il masquait cette queue qui lui avait donné un grand bonheur. Elle lui servait son café et pourtant ne le quittait pas des yeux. Elle aurait tout donné ...
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