Einstein (14)
Datte: 18/05/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... pour qu’il ne quitte plus son nid, mais elle s’abstenait d’en parler. — Je vais être en retard au boulot... enfin ce n’est pas grave, tu valais bien un léger retard. — Belle mentalité, tiens ! Si tous les gens du monde qui font l’amour arrivaient en retard partout... ce serait une belle pagaille sur terre. — Quitte à être en retard autant que le jeu en vaille la chandelle ! Je peux utiliser ta douche ? Et puis te laisser Esméralda ? — Je crois qu’elle est adoptée... regarde-moi ces deux-là, ils s’entendent comme larrons en foire. En effet, les deux clebs étaient allongés l’un près de l’autre sur moquette du salon. Ils se touchaient et semblaient dormir. Seules quatre oreilles bougeaient presque ensemble, dans la direction du moindre bruit. Guillaume s’était relevé et fouillait dans son jean. Un téléphone portable à la main, il composait un numéro. — Allo ! Jeannot ? C’est Guillaume. Écoute, je ne suis pas en forme ce matin ! Non pas grave, mais je crois que j’ai mangé quelque chose qui ne passe pas... Je viendrai demain. Oui, oui ne t’inquiète pas, je suis certain que ça ira mieux ! Maryse avait suivi la conversation et surtout l’énorme mensonge que le type venait de raconter à son collègue sans doute. Elle n’en revenait pas. Sciemment il avait raconté une blague sans même sourciller. Un type dangereux alors ? Et il était là près d’elle. Les deux visages se touchaient, front contre front. — Tu ne manques pas d’air toi ! — Je crois que nous avons mieux à faire ce matin ...
... encore... que dirais tu, de... faire l’amour avec moi. Ça fait si longtemps que je n’ai pas eu cette chance de jouer avec un si beau corps de femme. — Mais... tu n’es donc jamais rassasié ? Qui te dit que moi je le veux ? ivaiddjx — Ben... mon petit doigt, vois-tu ! Et joignant le geste à la parole, il avait plongé sa main sous la nuisette transparente qu’elle avait mise au lever. Et bien entendu ses phalanges déjà flirtaient avec sa chatte. Elle n’avait pas tenté de le dissuader, et en fléchissant les genoux, elle avait facilité l’accès à cette partie qu’il convoitait. Bien entendu, ça n’avait pas trainé et elle s’était retrouvée en position horizontale avant d’avoir dit ouf. Sur le dos, couchée sur le plan de la table, Guillaume debout derrière sa tête, il lui massait les seins à travers l’étoffe fine. Il insistait lourdement sur les tétons, obnubilé par le trait jaune qui les traversait. Comme il était penché au-dessus de son visage, son slip lui frottait le visage, alors c’était pour elle, tout naturel de relever les bras et d’écarter le tissu qui la gênait. Devant ses yeux, le sexe gonflé, tendu, raide qui remontait vers le nombril avait un gland rose et brillant. Une goutte ou deux de liquide séminal perlait déjà sur cette tête relevée. Elle s’empara de la hampe, faisant venir ce manche vers sa bouche. Lui touchait maintenant sa fente alors qu’elle gobait cette trique tentante. La fellation démarrait alors qu’il enfonçait quelques doigts dans sa caverne. Les choses ...