C'est encore nous...
Datte: 19/07/2017,
Catégories:
ff,
voisins,
amour,
intermast,
Oral
fgode,
fsodo,
... que ma bouche autour du mandrin de synthèse. — Hummm… Kris, j’aimerais vraiment être un homme pour profiter de ta bouche si douce, pour exploser au fond de ta gorge ! Tant pis, maintenant, tu vas être à moi… Nat s’est reculée doucement, m’échappant pour se pencher vers moi, me faisant basculer en arrière au creux du fauteuil. Je me suis retrouvée les fesses au bord du siège, offerte dans cette position à la vue et aux caprices de ma voisine. À nouveau à genoux entre mes cuisses écartées impudiquement, elle a posé les mains sur mes hanches puis, se cambrant légèrement, elle a commencé à frôler mon pubis du bout de son sexe factice. — Ouvre-toi, ma chérie… Écarte tes si jolies lèvres pour faire la place à mon beau jouet ! Je vais enfin t’offrir tout le plaisir que je rêvais de te donner depuis si longtemps…— Oui ! Viens, prends-moi toute, je n’en peux plus !— Regarde comment je vais t’embrocher… C’est avec une lenteur exaspérante qu’elle a commencé à s’enfoncer en moi. L’énorme gland luisant de ma salive a écarté mes lèvres intimes, distendu l’orée de mon sexe, m’arrachant un gémissement de bonheur. — Hummm… C’est trop bon ! Mais il est trop gros, trop long, tu vas me déchirer !— Oh non ! Il va prendre tout son temps, mais tu vas le sentir t’envahir totalement ; il va aller chercher ton plaisir, ta jouissance très loin dans ton ventre ! Le regard fixé sur le mandrin somptueux, je le voyais disparaître doucement entre mes cuisses, le sentais progresser au fond de mon ventre ...
... bouleversé par de folles sensations. Pénétrée, écartelée, empalée, j’ai frémi longuement lorsque le pubis de mon amante a frôlé le mien. Elle me possédait totalement, son jouet monstrueux entièrement en moi. — Alors, ma chérie… Tu vois que ton ventre m’a accueillie complètement ! Et maintenant, je vais te faire jouir très fort ! Elle s’est retirée presque entièrement, laissant un grand vide dans mon ventre. Nos regards se sont rivés l’un à l’autre et j’ai retrouvé au fond de ses yeux cette expression étrange, mélange de douceur et de vice. J’ai à nouveau emprisonné ses seins somptueux. D’une voix rauque, elle m’a murmuré : — J’ai envie de te prendre vraiment comme un homme ! Tourne-toi, mets-toi à genoux devant moi, offre-toi !— Tout ce que tu veux, Nat… Je suis toute à toi ! À genoux sur le coussin du fauteuil, cambrée, les bras sur le dossier, mes seins frottant doucement sur le cuir, je me suis offerte à son assaut. Ses mains fines ont crocheté mes hanches et, d’un léger coup de reins, elle m’a investie à nouveau, lentement, profondément. Elle a entamé de lents et longs va-et-vient dans mon ventre en feu, m’arrachant des gémissements, électrisant toutes mes terminaisons nerveuses. J’ai senti monter en moi une immense vague de plaisir. Elle devait me sentir frémir sous ses assauts de plus en plus langoureux. Relâchant mes hanches, elle a glissé une main sur mes seins, l’autre sur mon petit bouton. D’un brutal coup de reins, elle m’a embrochée jusqu’à ce que son ventre vienne ...