C'est encore nous...
Datte: 19/07/2017,
Catégories:
ff,
voisins,
amour,
intermast,
Oral
fgode,
fsodo,
Vous vous souvenez peut-être de ma tendre voisine, Nathalie. Elle avait perdu son chat, mais nous avions, grâce à ces gentils animaux, échangé des moments torrides qui m’avaient permis de découvrir la face cachée de Nat. Surtout sa manière de faire jouir une femme, sa luxure, son vice, dissimulés derrière le portrait d’une jeune femme timide, sensible et effacée. Après nos fougueux échanges de caresses, elle m’avait proposé d’aller chez elle, et même, à l’occasion, d’inviter mon cher mari ! (Lire ou relireL’imprévu a aussi son… charme !). Je me suis laissé tenter, mais c’est sans prévenir Alain que nous sommes parties. Heureusement que les plus proches voisins sont assez loin pour ne pas apercevoir deux silhouettes féminines se promener en peignoir ! À peine entrées chez ma si surprenante amie, celle-ci m’a collée contre la porte pour m’offrir un long baiser, tout aussi brûlant que ceux que nous avions échangés plus tôt. Moi qui garde une très nette préférence pour les hommes, je dois avouer que les nouveaux plaisirs que venait de m’offrir Nat m’avaient mise dans un état proche de l’extase… Aussi je lui rendis son baiser avec ardeur. Elle se serrait contre moi, ses seins frémissaient contre les miens, son ventre ondulait, une cuisse ferme appuyait sur mon pubis. Nous sommes restées enlacées ainsi quelques secondes puis Nat s’écarta avec un sourire radieux, m’invitant à m’asseoir dans un gros fauteuil de cuir moelleux. — Soyons folles ! J’ai du champagne au frais, cela te ...
... tente ?— Avec plaisir, mais j’ai vraiment besoin de me remettre les idées en place après ce qui vient de se passer.— Le champagne va t’aider… À moins qu’il ne nous donne d’autres envies ! Elle disparut vers la cuisine tandis que je me laissai choir au fond du grand fauteuil, reprenant doucement mes esprits après tous ces événements. Il y a quelques heures, je ne me serais jamais imaginé qu’avec Nat, je partagerais de tels plaisirs… Et, maintenant, je me sentais à nouveau prête à bien des folies. Des envies tendres, folles, sulfureuses remontaient le long de mon corps ; j’avais à nouveau besoin de caresses, de baisers… du corps si beau de ma belle voisine…« Kris, tu deviens folle ! » me dis-je en pensant aux seins, aux cuisses, au ventre, aux lèvres si douces de Nat… — À quoi penses-tu ? Tu sembles être songeuse… Des regrets pour notre petite folie ?— Oh non… ! Pas du tout, mais je n’aurais jamais imaginé que nous en arrivions là.— Honnêtement, moi non plus… J’en avais envie depuis longtemps, mais je n’osais pas tenter ma chance. Tu veux connaître la vérité ?— Pourquoi ? Tu ne m’as pas tout dit ?— Non ! Car je n’ai jamais perdu « Câline », et si je suis venue chez toi en peignoir, c’était en espérant qu’il se passerait quelque chose entre nous.— Vilaine fille ! dis-je en riant. Tu m’as joué un sale tour, mais je n’ai vraiment pas de remords de m’être laissée prendre à ton stratagème ! Pour lui prouver qu’effectivement je ne lui en voulais pas, ce sont mes lèvres que je lui ai ...