1. C'est encore nous...


    Datte: 19/07/2017, Catégories: ff, voisins, amour, intermast, Oral fgode, fsodo,

    ... encore te faire plaisir !— Hummm… On verra plus tard ! Nous avons partagé des instants sublimes depuis quelques heures. Tu as goûté à la tendresse, la douceur, la sensibilité, et un peu la perversité de l’amour entre femmes. Mais il nous manque une certaine virilité, une possession que seul un homme peut nous offrir…— Tu voulais inviter Alain… Il pourrait être un partenaire agréable : il est très tendre, viril et fougueux lorsque le besoin s’en fait sentir.— Je n’ai pas envie de ton mari, mais de toi, de tes caresses, et surtout de ton plaisir !— Moi aussi !— Alors caresse-moi encore… Prends mes seins entre tes lèvres, dévore-moi, fais-moi jouir très fort, et nous partagerons encore plein de bonnes choses ! J’ai mordu ses lèvres, torturé sa poitrine tandis qu’elle parcourait mes cuisses et mes seins de nouvelles caresses. Entre deux baisers elle m’a murmuré : — Encore… Oui, c’est délicieux ! Encore… Plus bas, mon ventre, mes hanches, je veux sentir tes mains partout ! De son côté, elle avait à nouveau investi ma grotte d’un doigt habile, remettant le feu en moi. Elle jouait du bout du doigt juste sur la petite zone rugueuse, si sensible au creux de mon ventre. Démentiel ! Je ne savais plus où j’en étais ! La douceur de sa peau sous mes doigts m’a fait prolonger ma caresse, sur son ventre, son nombril au creux duquel j’ai eu envie de déposer un baiser, ses hanches rondes et fermes, ses fesses que j’ai longuement caressées avant de descendre autour de sa taille pour me glisser ...
    ... entre ses cuisses galbées. — Nat ! Tu n’as pas honte ? Tu es une adorable coquine ! Je n’aurais jamais imaginé ça de ta part !— Eh oui… ! J’avais trop envie de compléter le plaisir qui te manque avec moi ! Je vais te donner tout le plaisir d’une femme et celui d’un homme ! Je venais de découvrir, masqué encore par son peignoir, un sexe viril dressé entre ses cuisses, tendu, long, large et dur sous mes doigts, mais d’une douceur de velours. Elle s’était ceinturée d’un splendide gode, bien plus imposant qu’un sexe d’homme, qu’elle offrit à ma vue en écartant les pans de son léger vêtement et en se redressant face à moi. — Maintenant, pour toi, je suis femme et homme, et je suis sûre que tu vas aimer !— C’est de la folie Nat… De plus, il est énorme !— Oui, ma chérie, énorme, monstrueux comme l’envie que j’ai de toi ! Je veux t’offrir bien plus que des caresses… Touche-le, caresse-le comme si c’était un homme, pose tes lèvres si douces dessus, prépare-le à te prendre… J’ai fait ce qu’elle m’avait dit, laissant mes doigts flatter ce pieu tendu, glisser le long de cette colonne de haut en bas, s’égarer aussi plus bas encore pour retrouver la douceur et l’humidité du sexe de Nat. Deux doigts coulissant tendrement au creux de son intimité, j’ai enfin offert mes lèvres à l’imposante tige. Toujours les yeux dans les yeux, nous avons prolongé nos caresses ; Nat a emprisonné ses seins qu’elle malaxait lentement. Ma main allait et venait entre ses cuisses largement écartées au même rythme ...
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