1. Une rencontre fortuite (2)


    Datte: 20/05/2018, Catégories: Lesbienne

    ... souhaite vous inviter à déjeuner demain, si vous êtes disponibles. — Euh, il faut que j’en parle à mon mari. Je peux te rappeler ? — J’attends ta réponse avec impatience. Fais vite ! dit-elle dans un rire cristallin Je fis part de la proposition à Jean, qui après une hésitation donna son accord. Il voulut en connaître plus sur cette Véronique au sujet de laquelle je ne lui avais rien dit jusqu’à présent. J’inventais une rencontre fortuite mais j’insistais sur notre complicité. Au bout de quelques minutes de « justifications », je m’isolais pour rappeler Véronique. — C’est bon, nous viendrons déjeuner. — Super ! Il me tarde d’être à demain. — Moi aussi… La fin de la journée va être longue. — De la frustration naît le plaisir… de se retrouver A cette allusion, je me mis à rougir jusqu’à la racine des cheveux. — Le plaisir sera-t-il partagé ? — ... — Je t’embrasse et à demain. — Bisous. La journée fut très, très longue… même si nous avons fait l’amour avec Jean. Là encore, mes pensées allaient vers Véronique et mon orgasme fut décuplé au grand plaisir de mon mari qui s’est senti fier de sa prestation. S’il avait su… Le lendemain, je me sentais comme une ado préparant son premier rendez-vous. Je me suis affairée pour que le temps passe plus vite, puis je me suis apprêtée, choisissant longuement ma robe, légère et colorée. Son décolleté mettait en valeur mes seins portant petits. Suggestif, il laissait deviner la naissance de ma poitrine sans la dévoiler. Le dos nu permettait de ...
    ... voir que je ne portais pas de soutien-gorge. Sexy mais assez classe surtout lorsque je complétais ma panoplie avec des talons hauts. Un trait de crayon sur les yeux et le tour était joué. Seul petit défaut, la trace de ma culotte sous le fin tissu. N’étant pas adepte des inconfortables strings, je me résolus à la retirer, même si j’avais bien conscience de prendre un risque inconsidéré si la situation venait à évoluer de façon trop favorable… Je n’étais pas peu fière de ma silhouette tant et si bien que j’ai cru que Jean allait me sauter dessus lorsque je suis sortie de la maison. Heureusement pour moi, l’heure du départ approchait. Lorsque notre voiture s’engagea sur le chemin menant à la maison, nous vîmes Véronique debout sur la terrasse nous attendant ornée d’un sourire comme elle seule pouvait en faire. Elle portait une robe blanche boutonnée sur le devant, que le contre-jour rendait légèrement transparente. Je vis Jean marquer un moment d’hésitation avant de me faire une remarque sur la qualité de la plastique de notre hôte. J’en rougis en lui demandant si elle était plus jolie que moi. En homme bien élevé, il répondit par la négative bien sûr (mon œil). Paul avait rejoint une Véronique resplendissante de féminité pour nous accueillir. Les présentations furent chaleureuses et très vite nos hommes se sont sentis une belle complicité en buvant un ti-punch. De notre côté, Véronique et moi avions opté pour un planteur qui n’en était pas moins alcoolisé. Je la soupçonnais de ...
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