Einstein (2)
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Sortie et renouveau ! Après cette partie de cul insensée, Maryse se jura que cela ne se reproduirait jamais. Elle jouait toujours avec son chien, mais plus aucun signe de connivence amoureuse ou de geste équivoque avec Einstein. Il ne manifestait du reste aucune fébrilité, ne cherchait pas à l’approcher plus que pour des jeux sans ambiguïté ou leurs promenades. La brune prenait presque soin de ne pas se montrer nue devant lui, comme s’il avait su ce que cela signifiait. Elle avait repris ses habitudes. Caresses furtives au lit dans le noir, jouissance sous la douche après des massages savants et qui pour un temps calmaient ses appétits sexuels. Un soir cependant, en rentrant du travail, elle trouva Einstein très agité. Il avait une érection monstrueuse. Dès son arrivée, il tournait après elle, la flairant, la sentant, comme s’il devinait qu’elle avait aussi un creux au ventre. Alors pourquoi fit-elle la bêtise de le caresser sur le dos ? Lui s’imaginait de suite qu’elle était prête. Alors il se redressa et ses deux pattes avant appuyées sur le dos de Maryse. Il la poussait en avant. Pour ne pas chuter sur le carrelage de la cuisine elle s’agrippait à la table de chêne qui se trouvait là. Elle sentit l’animal qui passait son museau sous sa jupe. Sur sa culotte, la langue râpeuse avançait déjà et le souffle du chien était au cœur de son sexe pourtant couvert. De nouveau il s’appuyait sur ses épaules et sa force était effrayante. Mais incroyablement au lieu de le repousser ...
... vivement, Maryse ne faisait pas un geste pour refouler l’assaillant. Non ! Elle s’aperçut que son ventre était en feu. Des spasmes d’avant plaisir montaient en elle de partout pour tous la rendre frémissante. — Attends ! Einstein, attends mon beau. Bien entendu le cabot n’avait cure de ses mots bien inutiles. Il insistait lourdement et l’engin qui la frôlait maintenant avait des proportions que bien des hommes auraient enviées. Il se frottait littéralement sur elle et sur sa jupe, au travers du tissu, elle ressentait cette rigidité effarante. C’est elle, pour qu’il n’abime pas sa jolie tenue, qui en releva l’ourlet. Dans la position où elle se trouvait, pas moyen de se faufiler à droite ou à gauche. Son ventre coincé sur le plateau de la table, elle comprenait qu’il arrivait à coller sa pine sur sa culotte. Là encore, sans doute dans un souci de garder intacts ses vêtements, elle repoussa sur le côté le triangle chiffonné qui lui couvrait les fesses. Alors dans la raie de ses fesses, la chose tendue que le ventre de l’animal poussait vers l’avant s’incrusta entre ses des globes. L’angle n’était guère propice cependant à une véritable pénétration. C’était plutôt des effleurements irréguliers, comme des coups de boutoir donnés par Einstein. Il aurait suffi qu’elle fléchisse un peu sur les genoux pour... Mais elle se refusait encore à envisager que son chien puisse devenir son amant. Elle avait fait la bêtise de lui faire une fois une fellation, elle n’avait pas vraiment l’intention ...