1. Einstein (2)


    Datte: 21/05/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... équation suivante : recevoir des effluves suffisamment imprégnés de sensualité et un processus réflexe se déroulait sous les yeux de Maryse. Il se mettait à avoir les yeux fixes, la regardant comme les dévotes regardaient une Sainte Vierge ou une croix. Puis un petit bout rouge, pointe élancée et fine montrait son nez. Ensuite en fonction de son excitation, il se levait revenant au-devant de la seule femelle disponible bien sûr ! Parfois il attendait sagement, mais à d’autres il faisait ce qu’aucun homme ne pourrait jamais réaliser, ou alors très peu, il s’auto léchait le sexe. Ceci avait le don de faire monter la température chez la jeune femme. Elle résistait encore alors qu’à l’extérieur, un nouvel hiver était venu recouvrir de sa neige et de sa glace les environs immédiats de sa maison. Le supplice de la tentation devenait tellement... violent qu’elle prenait plus de douches qu’à l’accoutumée, comme pour se guérir de cette maladie que devenait son envie pour Einstein. Mais malgré la pluie domestique tiède coulant sur elle, ses idées ne s’en trouvaient nullement rafraichies, et pire sans doute, son ventre lui, la torturait comme jamais. Pour conjurer ces pensées qu’elle jugeait salaces, elle décidait donc de se trouver un amant « normal ». — oooOOooo — Difficile aussi de trouver, de rencontrer un homme, alors pour en plus en faire son amant, ça devenait un vrai challenge. Où rencontrer dans un premier temps, puis draguer ensuite sans trop avoir l’air de le faire ? La ...
    ... jolie brune vêtue plutôt élégamment se disait que le mieux serait sans doute de se laisser porter par son instinct. Seulement voilà... celui-ci ne lui disait rien, ne l’aiguillait pas du tout et elle se décida pour une sortie au casino. Pas celui des courses, mais bien le lieu où les bandits manchots faisaient un heureux de temps en temps, alors que des centaines d’autres pauvres types pleuraient. zoezcckx Pour s’y rendre, rien de plus facile. Il en existait un pas loin de chez elle, et si elle n’avait jamais franchi les portes de cet endroit, elle connaissait son emplacement tout de même. Donc un samedi après-midi, maquillée et parfumée, elle décida que le moment était venu. Elle se rendit donc à ce fameux lieu de perdition et se trouva agréablement surprise de voir que finalement rien n’était comme elle se l’imaginait. D’abord, malgré son âge sa pièce d’identité lui fut demandée et puis munie d’un gobelet de jetons métalliques, elle pouvait déambuler dans une salle où des tas de femmes et d’hommes de tous âges s’acharnaient à faite tourner des rouleaux sur des machines bizarres. Néophyte totale, elle s’arrêta vers un homme qui bataillait ferme avec les boutons poussoirs de l’instrument qui avalait à un rythme effréné sa pile de jetons. Elle observait le bonhomme qui ne détournait pas ses yeux des symboles qui tournaient pour venir, sous la pression d’un doigt, les stopper en ligne. Le type avait les quinquets fixes, presque vitreux et alors que seulement quelques pièces ...