1. Avant-première


    Datte: 21/05/2018, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail voyage, amour, fsoumise, jalousie, Oral pénétratio, fdanus, champagne, humour,

    ... seuls. Je repousse légèrement Bernadette à bout de bras pour ne pas engager immédiatement les hostilités. — À tes ordres, Madame. Mais avant de prendre tes fesses à pleines mains, j’ai un certain nombre de choses à te dire.— Ça ne peut pas attendre quelques minutes ?— Non ! Malheureusement non ! Bernadette est maintenant à un petit mètre de moi. Je la contemple, les yeux fixés sur sa poitrine que j’ai envie de dévorer. Je retrouve en moi suffisamment de force pour lui annoncer en quelques mots que tout se passe encore mieux que prévu : — Ton mari m’a demandé d’écrire sur mon rapport que la solution proposée est de lui.— Il est gonflé de te demander ça ! s’exclame-t-elle. Je me contente de hausser un peu les épaules, puis je poursuis en lui signalant que ce même grand manitou de mari l’a chargée de m’accompagner dans tous les ateliers : ici et chez le sous-traitant d’Albi. Je l’informe aussi que ce soir, vers quatre heures un quart, son mari nous convie dans son bureau à sabrer le champagne en compagnie de deux invités pas tout à fait surprise : Maria et Mélanie. Puis, une fois les coupes bues, nous irons tous ensemble faire un petit tour d’atelier. La soirée se terminera comme prévu par la visite du musée Jean Jaurès. — Mais à trois seulement, sans Maria et sans ton mari, me vois-je dans la nécessité de repréciser. Mon court exposé terminé, Bernadette me fixe une fois de plus droit dans les yeux avant de se recoller à moi et de me chuchoter à l’oreille : — Tu es le roi de ...
    ... l’alibi. Tout se passe comme tu l’avais prévu.— Non : mieux que prévu ! Elle prend alors l’initiative de m’embrasser avec encore plus de fougue et de violence que devant la vieille friche industrielle. Je passe ma main droite sous sa jupe, puis je baisse d’un cran sa petite culotte. Ma main peut alors parcourir librement le bas de son dos, ses fesses et ses cuisses, avant de remonter vers sa poitrine qui semble n’attendre que ça. La situation me frustre. Je meurs d’envie de cette femme, qui meurt d’envie de moi, mais on ne peut rien faire… du moins pas faire l’amour… du moins pas quand quelqu’un est susceptible d’arriver à tout instant dans ce bureau… sauf si on peut bloquer la porte, mais on ne peut pas la fermer à clé, ce serait trop louche. En s’appuyant contre la porte on pourrait résoudre partiellement le problème, mais ce serait trop risqué. Que faire et que dire si quelqu’un veut rentrer dans le bureau, ou pire fait une intrusion intempestive ? En regardant plus en détail cette porte, je découvre qu’un gros crochet est situé juste au-dessus. J’en demande le pourquoi à Bernadette qui me répond sans aucune hésitation : — C’est à ce crochet qu’on fixe l’écran du vidéoprojecteur quand on en a besoin.— Et il ne risque pas de s’abîmer si quelqu’un ouvre la porte ?— Eh bien non, car on met une affichette disant qu’il ne faut pas ouvrir la porte tant que l’écran est déployé, me réplique Bernadette, tout sourire.— Eh bien, ma chère Bernadette, je crois qu’on va se faire une petite ...
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