Avant-première
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
voyage,
amour,
fsoumise,
jalousie,
Oral
pénétratio,
fdanus,
champagne,
humour,
... sa femme ou sur son environnement. Dans mon for intérieur, je suis ravi. Quant une femme trompée comme doit l’être Bernadette se lâche, les conséquences dépassent souvent de beaucoup les espérances. Il ne me reste plus qu’à ajouter ma touche finale personnelle pour parfaire mon alibi en béton : — Georges, c’est à mon tour d’avoir une faveur à vous demander.— C’est donc à mon tour de vous écouter.— Je souhaiterais que vous invitiez Mélanie à prendre le champagne avec nous.— Euh, oui, pourquoi pas ? s’exclame Georges, étonné par ma demande.— Comme cela, tout le monde la connaîtra ; ça transformera les rumeurs en certitude, et les racontars perdront tout intérêt.— Ah oui, je ne l’avais pas vu sous cet angle-là.— Et après, Mélanie viendrait visiter le musée avec nous.— Ce qui ne devrait poser aucun problème à ma femme, m’affirme-t-il sans aucune hésitation.— Mais par courtoisie, je lui poserai quand même la question à son retour. Pour moi, c’est le gros lot. Je vais pouvoir mettre face à face Mélanie, Georges, Bernadette, mais surtout Maria. Le téléphone arabe va fonctionner à 100%, et complètement à mon avantage. Qui pourrait être en mesure de découvrir que je monte toute cette histoire pour fournir à Bernadette l’alibi en béton dont elle a besoin pour que demain on passe ensemble quelques heures de folie ? Je me rends dans mon bureau pour préparer mon travail. Une vingtaine de minutes plus tard, Bernadette me passe un petit coup de fil discret pour m’annoncer qu’elle est de ...
... retour à l’usine. Je me dirige vers son bureau qui se trouve à l’étage supérieur, je frappe à la porte et j’ouvre avant même qu’elle ne me dise d’entrer. Bernadette est là devant moi. Elle m’attend, assise sur son bureau, les jambes croisées. Elle est en jupe ; ses cuisses sont parfaitement dessinées. Le dernier bouton de sa chemise est défait : ses seins n’en sont que plus arrogants. Un désir profond, mais peu réalisable, m’envahit : allonger cette femme sur son bureau et la baiser jusqu’à épuisement. Voyant mon émotion, elle me déclare sur un ton faussement innocent : — Je ne savais pas qu’en me mettant en jupe et en chemise toute simple je te mettrais dans un état pareil.— Et le « vous », il passe aux oubliettes ? répliqué-je aussi sec.— Ah, c’est vrai ! J’avais déjà oublié ce morceau d’alibi.— Ce n’est pas l’envie qui me manque de jouer les pères fouettards avec vous, mais ce n’est ni le moment, ni le lieu. Bernadette me regarde droit dans les yeux en me faisant un énorme sourire pleins de sous-entendus, puis me déclare à voix très basse pour que je me rapproche le plus près possible d’elle : — À défaut de pouvoir faire des cabrioles, viens me prendre dans tes bras et embrasse-moi… Puis poursuit avant que je n’aie pu lui répondre : — Je n’ai pas envie de te vouvoyer, j’ai beaucoup trop envie de toi… Et rajoute enfin en sautant de son bureau pour se plaquer contre moi : — Et si tu veux me punir pour mon « tu », tu pourras régler tes comptes avec moi demain, quand on sera ...