1. Quel pied !


    Datte: 24/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Ce dimanche là, Roger Néral s'était réveillé de mauvaise humeur. Lui et sa femme Martine devaient en effet déjeuner avec la tante Alice, une vénérable octogénaire dont la caractéristique malheureuse était une cécité absolue. De ce fait, la séance de zizi panpan du dimanche matin était remise à huitaine. Roger n'en finissait pas de râler : - C'est vraiment la plaie, cette visite. On est vraiment obligés d'y aller ? ne cessait-il de demander à son épouse. - Oui chéri, il faut aller la voir, c'est un engagement que nous avons pris quand elle nous a prêté de l'argent pour acheter notre maison. Tu peux bien faire cet effort. - Ouais, et ceinture ce matin... - Oh là là, tu peux bien te passer de ça encore une semaine, non ? Tu ne penses vraiment qu'à ça. C'était un peu vrai. Roger était très amoureux de sa femme, une brune pulpeuse qu'il jugeait encore plus belle à 40 ans qu'à 20 ans. Et qui faisait merveilleusement l'amour... Ils avaient pris l'habitude de batifoler le dimanche matin, seul jour de la semaine où ils n'étaient pas accablés par leurs obligations professionnelle et familiale. Mais la tante Alice bouleversait ce joli petit plan. Comme d'habitude, le déjeuner fut un calvaire. La pauvre femme avait besoin d'aide pour manger, en l'absence de son aide ménagère, et Martine l'aida avec conscience et dévouement. Heureusement, Alice était une vieillarde enjouée, aimant plaisanter et ne s'apitoyant pas sur son sort. Pendant ce temps, Roger lorgnait le décolleté profond et les ...
    ... cuisses dénudées de Martine, pensant qu'elle aurait pu revêtir une tenue moins aguichante vu les circonstances (et que l'intéressée justifiait par un temps estival). Si Alice ne s'en apercevait pas, lui si. Ah qu'il aimait les pétrir, ces beaux nibards ! En plus, elle avait choisi une robe qui lui arrivait à mi-cuisses et même plus haut quand elle s'asseyait. Une paire de cuisses faite pour encadrer des hanches d'homme, et en particulier les siennes. Roger se mit à bander sous la table et se demanda s'il n'allait pas se palucher. Après tout, Alice ne verrait rien... Après le déjeuner, on passa au salon. Encore un moment difficile, se dit Roger, assis face à Martine, Alice sur le côté, entre eux deux. Au fil de la conversation, plutôt lénifiante, Martine se laissa aller dans le fauteuil et Roger aperçut son slip. Cette vision agit comme un déclic dans sa cervelle de frustré. Martine le vit avec surprise approcher son fauteuil du sien, se déchausser, enlever sa chaussette et glisser son pied nu entre ses genoux. Elle lui lança un regard furibard, tenta d'écarter son pied tout en parlant à Alice (qui évidemment ne voyait rien) et ferma hermétiquement ses jambes sur le pied coupable, désormais coincé. Mais Roger était un solide gaillard doté de mollets musclés. Après une lutte intense quoique feutrée, le pied finit par se caler sur le bas-ventre de Martine. A moins de se retirer du fauteuil et d'alerter sa tante, elle ne pouvait que subir la situation qui, cependant, ne cessait ...
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