1. Quel pied !


    Datte: 24/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Martine contre la table, lui releva sa mini robe et glissa son doigt dans sa fente, encore poisseuse de cyprine. Et brûlante. - Arrête ! Laisse-moi passer, murmura-t-elle. - Je vais te baiser, là, sur la table, lui glissa-t-il à l'oreille tout en la mordillant. Son point faible, il le savait. Une zone érogène terrible chez Martine. Celle-ci avait cessé de lutter. Tout son corps était devenu mou. Elle n'opposa aucune résistance quand Roger la hissa sur la table et retroussa sa robe. Mieux, elle la fit elle-même passer par dessus sa tête et dégrafa son soutien-gorge avant de s'allonger, offerte et nue. A quoi bon résister. De toute façon, quand il avait cette idée là en tête, le Roger... Et puis, elle devait bien se l'avouer, elle n'en pouvait plus de désir. Avec le coup de l'orteil dans la chatte, il lui avait mis le feu. Et pour l'éteindre, il n'y avait pas trente six solutions : sa grosse lance à incendie. Tout son corps la réclamait. En outre, la situation incongrue l'excitait au plus haut point. Elle adorait la baise à la hussarde, dans un contexte risqué. Encore que ce risque était réduit vu la cécité de la tante. - S'il te plait, donne-la moi, vite ! souffla-t-elle. Roger ne perdit pas de temps. Après avoir baladé son gland sur la fente, il s'enfonça d'une seule poussée, jusqu'à la garde. Comme s'il avait été aspiré par l'antre bouillonnant et avide de Martine. En plus, la table était à la hauteur idéale. Cela allait être sa fête, à la Martine. Celle-ci se mordit la ...
    ... main pour ne pas crier de plaisir. Tenant solidement sa partenaire par les cuisses, Néral cognait dur, la table se déplaçait sous ses coups de boutoir, Martine se cramponnait les bras en arrière, ses seins mouvants suivant le rythme de la bite. C'est alors que la tante, du jardin, cria : - Alors, vous la trouvez, la théière ? Martine se redressa sur les coudes, les talons fermement posés sur les reins de Roger afin de le maintenir en elle : - Oui, oui, on l'a, on fait le thé ensemble, on arrive tatie ! Le couple savourait l'instant si spécial qu'il était en train de vivre. Il s'observait, se souriait, se parlait à voix basse. - S'il te plait, ne jouit pas tout de suite, j'adore ça ! souffla Martine. Roger ondulait sans accélérer le rythme, cherchant les points sensibles du vagin de Martine en la regardant droit dans les yeux. - Tu la sens bien ? - Mmmh oui, tu es beau quand tu me baises. Baise-moi encore. - Mais... la tante... Martine accentua la pression sur les reins de son mari-amant : - Je m'en fiche, elle ne voit rien. S'il te plait, baise-moi ! Plus vite, plus fort ! - Je vais accélérer le rythme. Je vais te fouiller, te creuser. - Oui c'est ça, creuse-moi ! Allez, vas-y ! Martine se cramponna aux bras de son baiseur de mari et se mit à accompagner ses coups de bite de plus en plus ardents, de plus en plus secs. Elle en décollait de la table et retombait dans un bruit mou, réprimant ses gémissements à grand peine. Roger se régalait de ce corps en fusion et en vibration, de ...