Quel pied !
Datte: 24/05/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... fois, c'était trop. Elle tenta de le repousser mais il la tenait solidement par les cuisses et sa langue diabolique, une fois encore, vainquit les réticences. Néral sentit les doigts de son épouse se crisper sur sa nuque, signe irréfutable qu'elle adhérait à son initiative. Mais Alice interrogeait : - Dis-moi, Titine, je vais changer de lave-vaisselle, tu me conseilles quoi comme marque ? Martine sursauta. Elle avait presque oublié sa tante tellement elle était préoccupée par la langue de Roger. Elle bafouilla : - Euh, hem, attends, ah oui, la mienne me satisfait, c'est une... A l'énoncé de la marque, Alice fit "bien bien" et interrogea le lécheur : - Et toi, Roger, tu en penses quoi ? Néral, le visage barbouillé de cyprine, énonça une sorte de borborygme qui approuvait sa compagne avant de se replonger entre ses cuisses. Pas question de se laisser distraire. Alice évoquait maintenant les diverses marques de lave-vaisselle qu'elle avait expérimentée et se demandait si ça valait vraiment le coup d'en acheter un, vu qu'elle était seule. Martine, désormais presque totalement hors du fauteuil, les cuisses collées aux joues de Néral, avait fait glisser les bretelles de sa robe et caressait ses lourdes mamelles, mordant ses lèvres pour ne pas gémir de plaisir. Néral lui-même avait libéré son chibre et se masturbait en léchant. C'est alors qu'Alice suggéra "de mettre le nez dehors afin de profiter du beau temps". Le couple s'interrompit à regret, surtout Néral qui aurait préféré ...
... garder le nez là où il était plutôt que le "mettre dehors". Martine sembla reprendre ses esprits, se rajusta mais voulant saisir son string, se fit devancer prestement par Néral qui le fourra dans sa poche : - Donne-le moi ! affirma-t-elle haut et fort. - Quoi quoi ? répliqua Alice - Heu... mon... mon sac à main, hein Roger, donne-moi mon sac ! - Mais oui chérie, bien sûr, le voilà ton sac ! dit-il en brandissant le string comme un trophée, tout en exhibant son engin. Martine fit mine de s'indigner mais elle sentit la cyprine dégouliner le long de ses cuisses et se félicita que sa tante ne pût juger de l'état où l'avait mis la langue de son mari. Le couple accompagna néanmoins Alice dans son jardin. Cette fois, Martine s'installa prudemment à l'écart de Roger pendant que la conversation reprenait sur la floraison exceptionnelle que l'infirme ne pouvait malheureusement plus voir mais qu'elle reniflait parfaitement. Martine entreprit de décrire les parterres, mais Roger n'avait pas dit son dernier mot : - Chérie, si on faisait du thé ? - Oui, bonne idée, tu t'en occupes ? - Ok. A peine Roger était-il arrivé à la cuisine qu'il appela Martine : - Chérie, demande à Alice où se trouve la théière. La tante indiqua l'endroit. - Je ne trouve pas, répondit Roger. Martine se leva et accourut dans la cuisine, pestant contre son mari. Mais quand elle entra, elle le trouva entièrement nu et en érection. - Qu'est-ce qui te prend ? Tu es fou ? Mais Roger, au lieu de répondre, s'avança, coinça ...