Atterrissage caliente à Fuerteventura (4)
Datte: 24/05/2018,
Catégories:
Hétéro
... pour s’élancer sur lerunway et décoller. Je ne bougeai donc pas, restant allongé sur le dos et caressant ces seins qui avaient depuis longtemps hanté mes fantasmes. Je roulais les tétons entre pouces et index. Je sentais que ce vagin se resserrait de plus en plus sur mon pieu. Ingrid respirait de plus en plus bruyamment ; ses lèvres étaient entrouvertes et moi je sentais ma sève monter du fond de mon être, entre l’anus et le scrotum. Je n’allais pas pouvoir tenir longtemps… Quand d’un seul coup ma compagne poussa un cri d’animal blessé en decrescendo, j’ouvris mes vannes et laissai ma semence arroser son vagin. Au même moment, Ingrid se laissa tomber sur mon torse en étirant ses jambes le long des miennes et en les emprisonnant dans un étau sensuel. Elle continuait ses mouvements de va-et-vient : c’est elle qui me baisait. — Oui, mon cœur, donne-moi tout… Oh oui ! Arrose-moi, remplis-moi. Je suis à toi ! Je jouissais par saccades, incapable aujourd’hui de préciser combien de temps cet orgasme avait duré. Ça durait et ça durait… Je me sentais gicler dans le ventre de ma partenaire en des jets puissants tandis que par des contactions de son vagin des mouvements de son abdomen elle me vidait, elle me trayait ! Sentant certainement qu’elle avait réussi son œuvre, que j’étais vidé, elle cessa tout mouvement. Sa bouche vint rejoindre la mienne pour le plus tendre des baisers reçus dans toute ma vie d’homme. Nous étions trempés de sueur mais je n’avais pas le courage de quitter ...
... ce nid de bonheur pour passer sous la douche. — Hum… que je suis bien avec toi, chéri. Je suis heureuse… J’ai peur de vivre un rêve et de me réveiller… — Réveille-toi, Madame : tu es dans la réalité ! Moi aussi, je suis bien avec toi. Je ne sais pas combien de temps nous restâmes ainsi dans cette position, les yeux fermés, savourant ces instants… Je commençais à m’assoupir lorsque je perçus un glissement sur mon corps. J’ouvris les yeux et vis Ingrid se laisser glisser vers mon entrejambe, se saisir délicatement de mon sexe avec ses lèvres pour le faire disparaître complètement dans sa bouche.« Elle ne veut tout de même pas remettre ça ! » pensai-je, quelque peu effrayé… surtout que ma verge semblait se réveiller ! Sa langue montait et descendait le long de ma hampe, faisait le tour du sillon en dessous du gland, insistant sur le V du frein ; Eva aspirait pour faire sortir tout ce qui pouvait encore subsister dans l’urètre. — Tu veux encore, mon ange ? Tu n’es pas fatiguée ? — Han ! Han ! Je voulais juste te nettoyer car je ne veux rien perdre de toi. J’aime ton goût et ta saveur ; je ne suis pas près de m’en lasser. Mais j’ai senti que ta bigounette avait apprécié le service de nettoyage, non ? — Ouais ! Elle aussi a besoin de repos pour ce soir. — Bonne nuit, mon amour ; repose-toi et viens contre moi. On va dormir à présent. Ingrid s’était retournée sur son côté gauche après m’avoir plaqué un smack mouillé sur la bouche, collant ses fesses contre mon sexe et remontant ses ...