Atterrissage caliente à Fuerteventura (4)
Datte: 24/05/2018,
Catégories:
Hétéro
... tourna vers moi en posant sa cuisse gauche sur la mienne tout en collant son sexe contre ma cuisse. Elle remonta la couette sur nos corps et posa sa main sur mon ventre. — On va être sages et se reposer… Elle se contredit lorsqu’elle posa ses lèvres sur les miennes qui s’ouvrirent instantanément pour laisser le passage à sa langue qui vint faire mumuse avec la mienne. Un baiser langoureux, tendre et sensuel dans lequel je dénotai quelque chose d’autre qu’un baiser érotique, quelque chose de plus profond, une tendresse, une sensation remplie d’amour. J’avais passé ma main dans son dos que je caressais par des attouchements intermittents. À chaque caresse je sentais sous mes doigts un léger soubresaut parcourir sa peau. Elle bascula par-dessus moi, écrasant ses seins contre ma poitrine, pressant son ventre contre le mien. Elle sentit que mon sexe s’était endurci. Elle passa une main entre nous et le saisit pour le placer contre sa chatte, tout contre ses petites lèvres ; je sentais sur mon gland la chaleur toute mouillée, gluante de ce sexe affamé. Sa bouche s’était saisie de l’un de mes seins et sa langue excitait mes aréoles pour faire durcir mes tétons. Son ventre s’anima afin de faire coulisser ma verge sur ses nymphes et sur son clitoris, puis elle se redressa, se mit à genoux en bas de mon ventre et se saisit de ma verge pour la présenter devant l’entrée de son vagin, puis elle se laissa retomber lentement jusqu’à l’engloutir totalement dans son ventre. Elle avait posé ...
... ses deux mains sur ma poitrine tout en commençant sans se relever un mouvement de pendule avec son bassin. Je me sentais aux anges. Rarement dans ma vie je n’avais ressenti cette sensation de bien-être, de possession entière dans cette communion débordante de plénitude de ce coït. Je tentai d’accompagner son mouvement de mon bassin comme si je cherchais à m’enfoncer encore plus profondément en elle alors que je sentais que mon gland était arrivé au fond, que je ne pouvais physiquement pas aller plus loin sans perforer ma compagne. — Attends,Liebling, ne bouge pas. Laisse-moi faire : c’est moi qui te fais l’amour maintenant. Ingrid s’était redressée. Son buste était perpendiculaire à mon torse. Elle avait placé ses deux mains derrière elle sur mes cuisses et fermait les yeux, attentive à ce qu’elle ressentait, cherchant par ses contactions du périnée et ses mouvements planétaires du bassin à conjuguer sa recherche du plaisir et du mien. Cette femme était l’Amour vivant et vibrant. Je tenais ses seins dans mes mains ; enfin, seulement une partie car sans être énormes, ils étaient à la taille de ma compagne et juste comme je les aimais. J’essayai de me redresser pour en saisir les tétons dans ma bouche… — Han, han… Ne bouge pas. Reste allongé, chéri, je suis sur lezebra en train de faire mon point fixe. En aéronautique, faire le point fixe consiste, lorsque l’avion est aligné sur la piste, à pousser les moteurs au maximum de leur puissance, les freins serrés, avant de les relâcher ...