Atterrissage caliente à Fuerteventura (4)
Datte: 24/05/2018,
Catégories:
Hétéro
... saisir un sein. Ingrid avait également de la suite dans les idées car elle venait de passer sa main sous la couette et s’était saisie de l’objet de ses désirs… objet qui, avec le traitement qu’elle commençait à lui faire subir, n’allait pas tarder à se manifester dans toute sa splendeur. — Wouahou !... En forme, on dirait. — Tu t’étonnes ? Avec tes doigts de fée… — Il serait peut-être plus judicieux qu’on aille prendre notre douche, et ensuite on prendrait le petit déjeuner, ne crois-tu pas ? — À moins que tu veuilles prendre ton petit déjeuner à la source tout de suite… — Sous la douche, si tu es sage ! Nous sommes passés dans la salle de bain. D’un mouvement d’épaules gracieux, Ingrid s’était débarrassée de son kimono qui gisait sur le sol, faisant une tache claire sur le carrelage sombre. Moi, je ne m’étais pas encombré de mon peignoir de bain ; j’étais resté tel que j’étais dans le lit : nu, comme Adam dans les jardins du paradis (ne cherchez pas un jeu de mot inexistant) et j’avais traversé la chambre puis la salle de bain pour me retrouver avec ma compagne dans la douche à l’italienne. Elle se blottit contre moi, de dos, plaquant ses fesses contre mon bas-ventre ; il n’en fallut pas plus pour que ma verge, nantie d’une force indépendante, se dresse pour se caler directement dans la raie de ma compagne et en diriger le gland contre son anus. Elle passa une main derrière elle pour se saisir de mon sexe, l’abaisser un peu afin de le placer plus bas, à la naissance de ...
... sa chatte. Prenant appui sur la barre de maintien scellée dans le mur, elle se recula un peu, écarta ses cuisses, cambra son fessier en arrière et creusa son dos, prenant position afin de me faciliter l’introduction dans ce havre de bonheur. Tout était chaud, mouillé lubrifié, ardent… Aussitôt ressentit-elle mon gland au seuil de son vagin qu’elle fit un mouvement de son arrière-train. Je me sentis aspiré en elle jusqu’à la garde. Elle prit la direction des opérations. C’est elle qui se faisait l’amour en se servant de moi. Elle reculait et avançait son bassin en contractant ses muscles vaginaux. Parfois elle entamait une danse polynésienne, prodiguant à mon sexe une sensation paradisiaque. Quant à moi, de mes deux mains j’avais saisi ses seins et je jouais avec ses tétons en les faisant durcir entre pouces et index. Ce traitement m’annonça qu’un orgasme se préparait au creux de mes reins. Mon gland augmenta de volume, durcit, et ma respiration trahit ma prochaine éjaculation. Ingrid ressentit cela car elle se dégagea de mon sexe et se mit à genoux devant lui pour le prendre en bouche. Sa langue me massait intensivement la couronne ; sa bouche me suçait, m’aspirait comme un appel… que j’entendis, car dans un spasme violent j’envoyai mon premier jet de sperme. Malgré qu’elle s’y soit attendue et préparée, elle fut surprise par sa venue, par sa force. Elle eut comme un haut-le-cœur mais déglutit tout, ses yeux vissés dans les miens pour observer les effets de mon orgasme. ...