1. Pêche diversifiée


    Datte: 26/05/2018, Catégories: fhh, Oral pénétratio, Partouze / Groupe couple+h,

    Depuis un certain temps, mon mari me délaisse. Xavier ne prête plus attention à moi, comme si je faisais partie des meubles, il n’est jamais là, il est plutôt mou dans tous les sens du terme, il ne me baise plus assez souvent, moins souvent qu’avant, c’est flagrant. De plus, il faut presque que je le supplie pour qu’il me fasse une petite minette, ou qu’il me saute dessus, plein de désir. Pire, tandis que je déballe avidement sa queue afin de lui faire une petite privauté, môssieur m’annonce parfois qu’il est trop fatigué ! Trop fatigué ? Mais de quoi, bordel ? Il est cadre A dans une grosse administration, qu’il n’aille pas me dire qu’il croule sous les responsabilités et le travail ! Je sais très bien comment ça fonctionne, car j’ai été contractuelle durant quelques mois. Et je n’en dirai pas plus afin de ne pas être encore plus ulcérée ! Trop fatigué ? Même pour moi ? Pourtant, avec mes trente-quatre ans, je ne suis pas encore hors service ! Je suis pourtant assez mince sans être anorexique, j’ai un mignon visage, de longs cheveux châtain clair délicatement bouclés, et une poitrine un peu disproportionnée par rapport à ma taille, mais je sais que les hommes aiment en général les gros nichons. Et le reste n’est pas à jeter, il me semble ! Mon popotin vaut le déplacement et mes gambettes aussi. Mais non, môssieur mon mari ne s’occupe plus de moi ! Alors, en désespoir de cause, depuis peu de temps, je laisse quelques autres hommes s’occuper un peu de moi. Et eux, ils ne ...
    ... disent pas non ! Et ils ne sont pas fatigués d’aller au charbon ! Comme ce dédain envers ma petite personne ne pouvait plus durer, je laisse donc parfois la porte ouverte à des amants de passage. Certains aimeraient beaucoup que ce soit nettement plus régulier. Je ne vais pas chercher bien loin, je trouve tous ces mâles au boulot, et pour faire vulgaire, j’ai ma dose de bites et aussi de promotions, même si je ne demande rien. Non, je ne couche pas pour grimper les échelons, je couche pour grimper au septième ciel ! Suis-je nympho ? Peut-être un peu… juste un petit peu. Il me faut ma dose pour éteindre le feu qui brûle en moi. Et je ne peux quand même pas me casser le cul à me le faire casser, en devant toujours faire attention pour que ça ne me retombe sur le coin de la figure ! Mais bon, il va falloir que je me décide d’arrêter définitivement avec les hommes du boulot, et ce, pour diverses raisons : la jalousie des uns et surtout des unes, car certaines femmes n’apprécient pas trop. Et devoir ma grimpette dans la hiérarchie qu’à mon cul et mes seins n’est pas très valorisant. Sans parler de l’ambiance un peu étrange qui peut régner quand je bosse avec un collègue masculin qui m’a déjà vue toute nue. Donc, au grand désappointement des hommes, j’ai ralenti petit à petit mes parties de séduction, pour ne pas dire, de jambes en l’air… Enfin, ça, c’était avant. Car entre-temps, j’ai trouvé une bonne solution de rechange… Il y a trois mois, un peu avant le printemps, quand la sève ...
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