Mon weekend chez Monica (2)
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... la perspective de me libérer enfin de ce cauchemar ne parut digne d’intérêt, comme une lueur, enfin, après une longue nuit. J’en fus profondément heureuse et c’est avec une sincérité non feinte, un bonheur profond, je crois, que je lui répondis; « Oh ! Merci, Madame Monica... Merci beaucoup ! » btsbmmpx * * * C’est ainsi que je dus passer encore deux bonnes heures debout, dans mes vêtements de suppliciée. Je fis tout de même les tâches à la satisfaction de Monica, qui m’annonça donc que la punition promise serait réduite à cinq coups de verge. Elle me fit d’abord passer dans la pièce qui m’avait servi de chambre, la première nuit. Elle m’y fit enlever mes vêtements de soubrette. Puis délaça (enfin !) mon corset. Quel soulagement ! Je sentis soudainement l’air entrer dans mes poumons. Puis une étrange douleur intérieure, au moment où toutes mes viscères reprenaient ensemble leur place normale, après ces longues heures de compression à la limite du tolérable. Je ressentais surtout une terrible douleur au dos. Je voulus masser mes reins, de mes mains aux ongles rouge vif. Monica nota le geste : « T’as mal au dos, petite ? T’en fais pas : c’est toujours comme ça, avec un corset très serré. Et c’est ça qui est magnifique avec ces petits chefs d’œuvre de la mode victorienne : plus tu vas en porter, plus ton corps va se mouler aux formes de ses baleines, et plus les muscles du dos, qui n’auront plus rien à soutenir, vont s’affaiblir. Après quelques mois, non seulement tu ...
... trouveras ces corsets confortables, mais tu ne pourras les enlever que pour t’étendre. Parce debout, sans corset pour te soutenir, ton mal de dos deviendra insupportable. » Monica me fit ensuite signe de m’asseoir. Elle prit de ses mains si fines mon appendice urinaire, toujours enfermée dans sa gaine de métal. Elle desserra les vis qui refermaient le tube, qu’elle fit ensuite glisser pour dégager la ridicule petite chose flasque qui s’y terrait. Malgré cette main si douce, l’organe demeura inerte. Je n’avais même plus, je crois, l’énergie pour bander. Monica s’en réjouit : « Ça fait bien plus féminin comme ça. Juste une petite bosse, comme un clitoris. » Puis, comme si elle était séduite par la docilité de ce sexe qui avait pourtant si souvent bandé et éjaculé sans permission depuis le matin, elle ajouta : « T’es un petit animal facile à dompter, Claudia chérie. Je sens qu’avec toi, il sera possible de pousser l’exploration très très loin. Tu ne regretteras pas le jour où je t’ai tirée de ta merde pour t’initier à ta nouvelle personnalité. Tu réalises ? Deux jours à peine ! Et regarde comme es déjà entièrement possédée. Crois-moi : tu vas bientôt être la plus heureuse et la plus servile des esclaves sexuelles ! » Elle me fit garder ma jarretière et mes bas de nylon, mon soutien gorges et mes faux seins, ma perruque et mes souliers. « On n’a pas travaillé toute cette fin de semaine pour faire de toi une femme du monde, ma petite, pour te laisser redevenir un homme à la première ...