1. Mon weekend chez Monica (2)


    Datte: 26/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... occasion, hein ? Alors, quand t’es chez moi, tu dois toujours conserver au moins un minimum de féminité. Compris ? » - « Oui, madame. » - « D’ailleurs, ma petite Claudia, quand tu partiras d’ici ce soir, je ne veux pas que ça soit dans tes habits d’homme. Tu vas rester comme tu es là. Je vais te prêter une jupe, un fuseau et quelques accessoires, et c’est comme ça que tu vas rentrer chez toi, O.K. ? Une fois dehors, tu pourras toujours te débrouiller comme tu veux, mais c’est en femme que tu sortiras d’ici. » - « Mais, madame !... J’aurai jamais le courage ! » - « Voyons, petite idiote. Après tout, hier, tu es bien sortie en fille, et t’as eu un fichu succès, non ? » - « Mais vous étiez à mes côtés, madame ! » - « Bon. Je t’accompagnerai ce soir encore, si tu veux. Mais je veux que pour moi, à partir de maintenant, tu ne sois toujours que Claudia. Quand tu reviendras chez moi, à l’avenir, et que j’ouvrirai la porte, c’est Claudia que je veux voir. Pas cet homme moche que tu étais vendredi dernier, dans ce bar sordide où je t’ai repêchée. » - « Bien... Je vous le promets, madame. Vous m’avez tellement transformée, ces derniers jours, que je crois que je ne serais plus capable de redevenir vraiment un homme, de toute façon ! » - « Si tu veux mon avis, d’ailleurs, ajouta-t-elle d’un ton moqueur, avec les sourcils arqués que je t’ai taillés hier, même en homme, t’auras l’air bizarre ! Alors, si tu veux pas que les voisins te regardent de travers, tu serais aussi bien de ...
    ... demeurer travestie pendant deux ou trois semaines, le temps que ça repousse ! » * * * Elle me fit alors descendre dans sa salle de torture, une pièce que je n’avais pas encore visitée. Quelle vision horrible, que ces arceaux, ces tables de supplice, ces anneaux aux murs et au plafond, et cette collection de férules, fouets, verges et autres courroies disposée sur le mur ! Autour de deux ou trois établis qui servaient, au centre de la pièce, de « tables d’opération » pour certains types de supplices dont je ne savais rien encore, étaient dispersés certains instruments qu’elle avait utilisés avec ses clients du jour. Elle m’indiqua où ranger ces objets. Elle m’entraîna ensuite vers une petite banquette recouverte de cuir, dont la surface était souillée de cernes. « Allez. Montre-moi ce que tu sais faire de ta langue. Je veux que ce cuir soit propre comme neuf ! » Je devinai immédiatement, au goût âcre et salé de la souillure, qu’un de ses clients y avait éjaculé; mais ce goût, loin de me déplaire, me fit revivre avec plaisir les moments si intenses vécus depuis deux jours. Je lapai le sperme séché avec délectation, en sentant une fois de plus l’excitation monter dans mon ventre. Une excitation puissante, qui secoua mon corps. Une excitation que je ne ressentis pas dans mon sexe d’homme, chair plutôt inerte, ersatz inutile de ce qui avait été jusque là un pénis plutôt fier, mais dans ma grotte anale, ouverture chaude et vibrante, dont le sphincter maintes fois violé recommença ses ...
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