1. LA TABLE EN SAPIN


    Datte: 27/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Je me suis réveillé en sursaut. Il faisait encore nuit et les seuls bruits que j’entendais sont ceux d’une douche en train de couler. J’ai enfilé mon slip et je suis sorti de la chambre, sans allumé. La porte de la salle de bains était légèrement entrebâillée. J’ai jeté un œil. C’était avec émerveillement que j’ai vu Colette sous les jets de la douche. Ses yeux étaient clos. Comme si elle savourait les caresses de l’eau sur son corps. Ma position de voyeur se focalisa sur sa chatte. Colette se savonnait un sein et massait l'autre avec son autre main. Toujours les yeux mi-clos, elle se mit à pincer, à étirer son gros mamelon, alors que son autre main, celle qui tenait la savonnette descendit vers son bas-ventre, savonnant la toison. Je commençais à être à l’étroit dans mon slip. Puis elle laissa échapper de sa main la savonnette, pour glisser un doigt dans sa vulve. Qu’elle fit aller et venir. De la voir se masturber m’excitait. J’imaginais les parois chaudes et humides. Une mouille épaisse coulait sur son index. Dans la baignoire, Colette poussait son ventre au-devant de sa main. Elle se branla un long moment de cette manière. De temps à autre, elle le sortait de son con pour masser le clitoris d'une caresse circulaire. Puis, elle se saisit sur le haut du petit meuble d’un cylindre, ce que je reconnut être un gode. De forme allongée et légèrement recourbée. Elle s’appuya le dos contre le mur et posait un pied potelé sur le rebord de la baignoire. À l’aide de ses doigts, elle ...
    ... ouvrit son sexe de façon obscène. Mes yeux étaient comme aimantés sur sa vulve bâillante. Elle se pénétra de deux doigts et se masturba de nouveau tout en suçant le gode. Léchant le bout comme s’il s’agissait d’une bite. Quand elle se sortit de sa bouche se fut pour se l’introduire dans le con. Avant de le faire aller et venir. Très vite sa respiration courte, fut entrecoupée de gémissements. Je ne sais pas ce qui m’a empêché de faire de même. Peut-être, le risque de souiller le sol de ma jouissance. Là-haut dans la baignoire, Colette poussa une exclamation et resta là, haletante. Il était temps pour moi de retourner dans ma chambre. Après mettre retirer le slip, je m’allongeais sur le lit. Je bandais toujours. C’est alors qu’elle fit éruption dans la chambre. - Allez, il est l’heure… debout. Ordonna-t-elle, joyeusement. Tout en riant, elle alla écarter les rideaux. Ouvrit la fenêtre et décrocha les persiennes. La lumière du couloir suffisait à éclairer une partie de la chambre. Donc le lit, là-même où j’exhibais fièrement ma queue bandé. Comme l’a pu le constater, Collette en se retournant. Surprise tout de même. Mais au lieu de fuir la scène, confuse, comme l’aurait fait n’importe quelle femme bien élevée, elle ne s’offusqua même pas. Ce spectacle l’agréait. Fixant ma colonne de chair comme Ce n'était pas permis. Elle battit des paupières, avalant difficilement sa salive. - Eh bien… tu tiens une forme olympique. Me lança-t-elle. - C’est un peu grâce à vous. Répliquais-je. ...
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