1. LA TABLE EN SAPIN


    Datte: 27/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Je sentis qu’elle était étonnée de ma réponse. À tâtons je récupérais la culotte sur le lit et l’exhibant comme un trophée. - Grâce à celui… Chère Colette… - Oh mais ! C’est la mienne… petit cochon… va. Comme elle était toute proche de moi, j’ai tendu mon bras pour me saisir d’un pan de son peignoir. J’ai tiré vers moi de toutes mes forces. Colette s’est retrouvé à quatre pattes au-dessus de moi. Son peignoir s’était ouvert, laissant son corps nu sans protection. Avec assurance j’ai touché la mamelle. Enfonçant mes doigts dans la masse de chair. La belle-mère s’esclaffa. - Veux-tu arrêter, cochon ! Tu n’as pas honte . La situation prenait une tournure ambiguë. Je contemplais tout ce que je pouvais apercevoir. Colette se lécha les lèvres, tout en m'échappant. Nous y étions. Elle se courba au-dessus de mon bas-ventre. Me saisit la queue à pleine main. Avant de la taquinait, du bout de sa langue. Pour me prendre au final dans sa bouche. À quatre pattes, elle se mit à me sucer avidement tout en me caressant les couilles. M’aspirait, enroulant sa langue gluante de bave autour. Je caressais ses cheveux, alors qu’elle enfonça ma queue dans sa gorge. La massant de toute sa bouche, me suçant encore, plus fort. Comme tout travail mérite salaire, je n’ai pas résisté longtemps à la payer en liquide. Lui envoyant le plaisir dont elle avait mis tant d’amour à élaborer. Elle me but jusqu’à la dernière goutte. Puis elle se leva et me dit : - lèves-toi à présent. Va prendre ta douche, je ...
    ... t’attends pour le petit déjeuner. M’ordonna telle. Et elle sortit de la chambre. Réajustant au passage le peignoir. Je la savais volage, mais là, je restais effarait. Elle ne perdait rien pour attendre la Vilaine. Après ma douche, j’allais la rejoindre dans la cuisine. Dans mon plus simple appareil. J’entrai prestement. Elle se pétrifia. Les yeux agrandis de surprise. Puis elle fronça les sourcils. Sa bouche se tordit et une rougeur violente lui monta au visage - Tu comptes déjeuner dans cette tenue . Me lança-t-elle - L’ennuie, tu vois, c’est que je bande encore très dur. Et qu’il m’est difficile de pouvoir la glisser dans mon pantalon… peut-être après avoir déjeuner. De son côté, elle s’était habillé. Un chemisier blanc, une jupe sombre. Et comme à son habitude, ses jambes étaient gainées de nylon, couleur chair. La cafetière en main, elle entreprit de faire le service. Je me sentais encore euphorique, malgré une éjaculation. Et chez moi ça engendrait inévitablement des idées folâtres. - Tu aimes me taquiner, n’est-ce pas Alain ? Alors qu’elle versait le café fumant dans mon bol, me considérant ironiquement. - Si tu me taquines, ce n’est pas par hasard. Dit-elle. Mais je sais pourquoi tu fais ça. - À oui ! M’entendais-je répliquer. - Oui ! Ce sont des manœuvres d’approche… sexuelle. Précisa-t-elle. Penchée en avant pour se servir le café, Colette m’offrait la courbe de son fessier sur lequel se tendait le tissu de sa jupe sombre. Je n’ai pas pu résister d’avancer ma main et de ...