1. LA TABLE EN SAPIN


    Datte: 27/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... caresser doucement la rondeur. Elle me jeta un regard par-dessus son épaule. - Mais ! Commença-t-elle. Je la coupai avec sang-froid. - Quoi mais ? J’ai envie de te baiser. C’est aussi simple que ça. - C’est que… Claude pourrait arriver. Répondit-elle. Je regardais la pendule. - Nous avons une demi heure devant nous. Elle regarda la pendule à son tour. - Alors fais vite… Répliqua-t-elle, d’un œil pétillant de désir. J'étais aux anges. Pas surpris du tout par son invitation. Je savais de source sûre, qu’elle n’éprouvait rien pour personne. Un homme pour elle s'était juste un sexe éventuellement. Capable de lui donner du plaisir. Je me saisis de sa jupe par l’ourlet et remontais vers le haut comme je l’aurais fait à un lapin pour lui retire la peau. - Appuies-toi à la table. Elle n’objecta rien. Quand elle fut en position, je fis tomber son collant ainsi que sa culotte. Je la regardais, l’œil songeur. Immobile et contracte, elle attendait la suite. Ça pose penché, donnait un relief à sa chute de reins. Je l’admirais en silence pendant un assez long moment, puis brusquement je me mis en mouvement. Sans hâte, je posais une main sur sa hanche. Colette se pencha davantage. Elle respirait court. J’effleurais du bout des doigts la fente gorgée de mouille. Faisant gémir Colette, dont ses gros seins montaient et descendaient au rythme accéléré de sa respiration. J’enfonçais mon doigt dans la vulve, que je fis aller et venir. Elle se mit à gémir. - Tu aimes ça . Cochonnes-tu es bien la ...
    ... mère de ta fille? - Alain ! Tu n’as pas honte de me dire des choses pareilles . J’espère au moins que tu auras la discrétion de rien lui dévoilé sur ce que nous faisons. Je la masturbais sans retenue. - Je suis sûr que tu aimes ce que nous faisons . Elle ne répondit rien. Elle était toute proche de jouir. Je retirais alors mon doigt. La privant de son orgasme. Je touchais la raie fessière, à tâtons. Cherchant l’anus, auquel je me mis à tripoter. J’en griffais le pourtour. Je remis un doigt par-devant, le graissant avec de la mouille. Puis je revins à son derrière, forçant l’étroite ouverture. Colette se crispa. - Oh non, Alain, ne fais pas ça… Sans me préoccuper ne ce qu’elle disait, j’ai enfilé mon doigt copieusement enrobé de mouille dans l’anus serré. - Non… il ne faut pas… c’est sale. Pour toute réponse, je lui recommandais de ne pas se crisper. Ce qu’elle fit. Son sphincter se détendit. Colette gémit, la tête baissée. Je pus commencer à faire coulisser mon doigt. Très vite j’en nichais un second. - Oui… Oui comme ça… Non… Oui, encore… Oh ! S’enflamma-t-elle. Elle bougeait d’avant en arrière, se joignant à ma caresse. Le cul de Colette sécrétait une sorte de mouille onctueuse. J’enfonçais le plus loin que je le pouvais. Elle tourna vers moi, un visage défiguré par le plaisir. J’enfilais un troisième doigt dans l’anus de plus en plus dilaté. Colette béat, se reculait en cadence pour s’empaler sur mes doigts. Se sentant très proche de conclure, je me retirai de son cul, avec ...