Club des Cinq
Datte: 27/05/2018,
Catégories:
grp,
extraoffre,
boitenuit,
danser,
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
... suis plutôt étonné, mais il y a certaines expériences qu’on se doit de faire au moins une fois dans la vie. Elle se penche un peu, l’eau chaude ruisselle sur son dos, je me positionne au mieux, et c’est avec une facilité déconcertante que j’entre elle. Je m’étonne à voix haute : — C’est rentré comme dans du beurre !— Normal, je te l’avais dit. De plus, mon homme adore passer par là…— Ah bon ? Heureux homme !— Et il n’est pas le seul…— Ah bon ? Heureux hommes ! Moi, y compris ! Je commence mon mouvement d’entrée-sortie. J’ignorais qu’on pouvait mouiller de là. À moins qu’elle ne se soit lubrifiée auparavant. Peu importe ! Je reconnais que c’est très bon d’être niché là dans cet endroit si intime : c’est chaud, c’est étroit, c’est élastique et c’est aussi encore tabou pour beaucoup de personnes. Alors que je coulisse un peu en elle, Marianne m’ordonne d’une voix douce, mais ferme : — Non, ne bouge plus, reste bien au fond. Et prends ma chatte et mes seins ! Peu contrariant, je fais ce qu’elle me demande. Une main glisse vers sa fente à la recherche d’un petit bouton rose, tandis que l’autre s’en vient capturer un sein un peu pendant, mais qui tient bien en main. À ma grande surprise, je sens quelque chose masser mon sexe qui est fiché en elle. Marianne remue doucement des fesses, ce qui accentue cette branlette interne autour de ma queue. C’est à la fois étrange et terriblement émoustillant. — Tu es pleine de ressources !— Flatteur ! Ça te plaît ?— Et comment ! Je resterais ...
... bien des heures comme ça ! Elle rit doucement, accentuant son étrange ballet de fesses autour de ma queue bien rivée dans ses profondeurs : — Si tu y arrives ! J’accentue ma caresse, elle se cabre. Lentement, le désir monte, le plaisir arrive au galop. Sous cette eau chaude qui ruisselle sur nous, moi en elle, son sein dans ma main, son clitoris entre mes doigts, rivés l’un à l’autre, soudés, fusionnés, nous jouissons tous les deux, moi qui me vide, elle qui se remplit de ma semence, dans le bruit des gouttes qui explosent sur le carrelage… Après avoir dit au revoir à Marianne et Jacques, sortant sur le parking, nous montons dans notre voiture. Même si ce fut une bonne soirée grâce à l’expérience de Marianne, je ne suis pas fâché de rentrer à la maison. Alors que la voiture s’engage sur une rocade, Pauline brise soudainement le ronron du moteur en lançant acrimonieusement : — Tu l’as niquée sous la douche, c’est ça ? Le ton employé n’est pas guilleret. Mes mains toujours sur le volant, je réponds calmement : — Pour être franc, et même si ça foule aux pieds ma dignité masculine, ce fut plutôt l’inverse…— Ah oui ? Tu aurais pu résister, dire non…— J’aurais pu… mais je ne l’ai pas fait. Tout comme toi, tu aurais pu dire non à plein de choses, mais tu n’as pas dit non.— C’est pas pareil ! Je change d’angle, car la logique formelle et la logique féminine ne sont pas toujours synchrones. Sans hausser le ton, je réponds : — Ta soirée a mal commencé, c’est vrai, mais tu t’es rattrapée ...