Miroir. Ô mon miroir !
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
jeunes,
couple,
cocus,
boitenuit,
miroir,
Oral
double,
Partouze / Groupe
jouet,
confession,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... Vous avez aussi de vraies dispositions. Et se rendant compte de ce que sa remarque insinuait : — Excusez-moi. Je ne devrais pas.— Ce n’est pas grave et je prends cela pour un compliment.— Vous pouvez ! dit-elle avec une expression d’amusement. Et elle reprend, de nouveau sérieuse : — J’ai essayé d’être à la hauteur de ce que Jean attendait de moi. Je l’aimais tant. Je l’aime encore. Il est toujours avec moi. Mais sa « faiblesse » le perturbait tant, que j’ai accepté… Elle semble partie dans ses pensées. — Vous avez accepté quoi ? J’essaie de la recentrer, craignant que l’alcool, qui lui libère la parole, ne soit trop fort pour qu’elle continue. — Vous pensez que je suis saoule ! Mais non, c’est juste que tout cela me ramène en arrière.— Vous disiez que vous avez accepté.— Oh, oui, j’ai accepté. Il m’aimait tant qu’il ne pouvait supporter que, du fait de sa faiblesse, je sois privée de ce plaisir qui nous unissait. Alors il a imaginé ce plan. Nouveau silence. Vivianne se ressert à nouveau. — Vous pensez que c’est raisonnable ? je demande.— Jeune homme, ce n’est pas parce que vous avez un beau cul que… Pardon, vous avez raison… Mais ce whisky me rappelle mon mari et de « là où il est », il doit sourire de ma situation.— Je vous en prie. Vous parliez d’un plan ?— Vous ne perdez pas le fil de votre idée. Vous voulez savoir pourquoi cette femme qui pourrait être votre mère vous mate alors que vous baisez ! Je souris de cette remarque pleine de bon sens. C’est juste qu’elle n’a ...
... rien de ma mère, enfin j’espère. C’est vrai que les enfants imaginent rarement leur mère se faire baiser et crier leur plaisir. Elle reprend. — Il voulait que je trouve mon plaisir avec d’autres. D’autres hommes. Je ne voulais pas le tromper. Je ne voulais pas le quitter. Aussi il a construit ce studio avec ces miroirs. Ainsi, je recevais un homme et lui pouvait nous regarder. Il était avec moi. J’étais avec lui. L’autre, mon amant de passage, ne savait pas. Je l’entraînais là-haut, sous le prétexte de ne pas aller dans la chambre conjugale et Jean regardait. Il regardait et il filmait. C’était son plaisir à lui et parfois, alors que nous regardions tous les deux ce qu’il avait « capturé » de son infortune, il avait une érection. Une érection et c’était le bonheur. Mon mari me baisait et me donnait du plaisir.— Ah !— Ah. C’est tout ce que vous avez à dire devant un tel aveu ?— Je m’excuse et je comprends ce qui vous liait à votre mari. Je comprends que vous vous êtes sacrifiée pour lui…— Sacrifiée ! Mais vous n’avez rien compris ! Ce plan a été diabolique. Au départ je le faisais juste pour lui plaire, recevant ces hommes qu’il sélectionnait par internet, me faisant passer pour une Salope avide de sexe.— Désolé.— Vous êtes bien jeune pour me comprendre. Pour comprendre qu’amant après amant, je trouvais de la jouissance à cette situation. Que je suis devenue la Salope qu’il leur proposait. Que moi aussi, je suis devenue addicte à ces rencontres. Que petit à petit, il m’en fallait ...