1. Miroir. Ô mon miroir !


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, jeunes, couple, cocus, boitenuit, miroir, Oral double, Partouze / Groupe jouet, confession, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... plus. Plus de luxure, plus de sexe, plus de perversité. Et Jean m’a suivi, que dis-je, précédé dans cette déviance. Toujours plus de jouets sexuels, toujours plus de lingerie cochonne, toujours plus de robes érotique pour attirer par moi-même, sans l’aide de la toile et que j’étais devenue une araignée qui attirait des mâles pour me baiser…— J’ai vu en effet certaines choses dans l’armoire de la chambre.— Vous avez osé ! Le ton est de colère mais aussitôt elle se ressaisit. — J’aurais dû m’en douter. Je ne peux m’en prendre qu’à moi. J’imagine ce que vous pensez de moi. Et le verre qu’elle avait reposé, reprend le chemin de ses lèvres. Et de trois ! — Je ne vous juge pas. Je trouve même que ce que vous avez fait par amour, est très beau. Et si par la suite vous y avez trouvé une récompense alors j’imagine, et je crois bien vous l’avoir entendu dire, que votre mari vous accompagnait et appréciait.— Merci. Julien vous êtes un gentil garçon.— Ce que je ne comprends toujours pas, c’est pourquoi vous transformer en voyeuse. Vous devez avoir des amis qui pourraient vous apporter bien mieux. Elle me regarde. Je vois bien que l’alcool la perturbe. Pourtant c’est avec une immense tristesse qu’elle me répond : — Mais je ne peux pas. Jean m’a laissé avec toutes les envies que ses jeux ont distillées en moi. Mais il n’est plus là. Personne pour me guider, pour me regarder. Plus tard peut-être ! En tout cas, le moment n’est pas venu pour que je me donne à un autre homme, même si j’imagine ...
    ... que Jean attend ce moment. Alors comme j’ai encore un feu qui me consume de l’intérieur je vais vous regarder. Cela m’excite. Cela m’apaise. Le regard qu’elle me jette est troublant ; — Et vous savez si bien « parler » aux femmes. Vous leur donnez tout ce qu’elles attendent sans qu’elles n’aient besoin de vous solliciter… Que dire à part « Merci ». — Une dernière question, je demande.— Oui.— Vous avez dit que votre mari, Jean, filmait.— Oui. Tout. Il faisait des montages. C’était son plaisir. Il me montrait parfois, comme je vous ai dit.— Vous avez tout gardé je présume.— Évidemment. Jamais je ne pourrai jeter… Elle croise mon regard, elle comprend. — Non, non, n’y pensez pas. Jamais je ne montrerai à quiconque…. Je me sens un infâme maître-chanteur et pourtant je n’ai fait que diriger mon regard vers le DVD qui est sur la table. — Jurez-moi sur ce que vous avez de plus cher que jamais vous ne parlerez, ne montrerez ou jetterez en pâture sur le net ce que vous avez filmé. Moi, je vous jure que dès demain, je bouche ces miroirs. La voix est forte et pas suppliante. Je crois que c’est finalement cela qui me décide d’aller plus loin. Un« gentleman agreement » en sorte. — Oui. Je jure. Je jure même de détruire la copie que j’ai conservée.— Bien. Alors, attendez-moi là. Elle se lève. Sa démarche me paraît mal assurée. Pourtant elle quitte la pièce et revient un moment plus tard avec un large coffret dans les bras. — Tenez. Et elle me le donne. Je fais glisser le couvercle de bois ...
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