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Épouse e t pute
Datte: 30/05/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... présent elle mettait une main devant ses yeux formant cela comme en prière. Je me tins coi respectant ce retrait. Je pressentais qu’elle m'accorderait ce dont j'avais envie. Cela ne méritait ni hâte ni triomphe. Je vis que j'avais deviné juste car un sourire ami illuminât maintenant sa face. Elle susurra : « Tu es un champion et j'ai je te l'avoue douté de toi un temps. » Elle avait disant cela écarté soudain ses cuisses. Outre de porter des bas elle affichait au milieu une culotte fendue livrant sa chatte.Elle demeura longtemps ainsi. Je crus devoir examiner sans vergogne comme on fait du cheptel qu'on va négocier. Je lui savais gré de jouer à la perfection son rôle de putain. On pouvait même croire que cela l'amusait. Elle avait du le faire volontiers avec certains de ses amants. J’avais pu craindre qu’elle se forçât pour moi ou donnât à notre entrevue un ton acre et grinçant qui eût sûrement gâché ma fête. Elle acceptait volontiers que je remplis plusieurs fois nos verres. Elle concevait que pour monter au front un soldat se doit d'être un peu ivre. La bouteille fut vidée.J'adoptais un ton plus leste aux limites vulgaires. Sardonique j'émettais l'hypothèse que son mari ne lui connût jamais une pareille tenue. Elle répondit sans ambages qu'en effet elle réservait cela aux amants. Elle s'empressa d'ajouter que le sexe avait été vite évacué de leur couple. Elle précisa : Tu sais fort bien que mon homme et ton ami nous vaut mille fois. Pour cela nous devons le préserver. ...
... »j’acquiesçais. J'admettais qu’elle voyait juste. Tout au moins savais-je que j'étais un coquin et de la pire espèce. Quant à elle je ne savais encore si je devais la ranger dans la catégorie : « Putain. »Espiègle elle voulut savoir si j'avais amené ici maintes de mes conquêtes et quel en était le genre. Je convins que celui-ci était des fois tarifé. Cela oscillait entre la blonde pute slave et la brune exotique sud américaine. J’avais en cela le goût du pékin banal. Elle ajoutât : « Dois-je en être flattée ? M'as-tu obtenu gratuitement ? De toute façon tu aurais sauvé ton ami sans moi n'est-ce pas ? « Je répondis avec la dernière sincérité que j'aurais de toute façon secouru mon ami. Un sourire large barra alors son visage témoignant qu'elle me croyait. Le champagne nous montait tous deux à la tête. Elle avait retiré un pied de son escarpin et jeté celui-ci vers moi sur la table basse.Ce pied en son bas noir semblait comme monstrueux vivant déjà d'une vie autonome. On eut dit une avant-garde d'une armée vicieuse et résolue. Je voyais en cet organe nerveux et tant lascif tout un monde de promesses. J'y tendis la main pour le caresser. Le serveur qui amenait une seconde bouteille ne parut point ému de cette licence. On avait droit à tout en ce salon. Nous aurions en effet pu nous autoriser à des choses plus osées. Pour l'instant je me contentais de caresser ce pied. Elle me contait qu'un beau chauffeur d’ambassade africaine l'avait amené une fois ici en une chambre.Dans un regard ...