1. Épouse e t pute


    Datte: 30/05/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... de défi elle ajouta : « J'ai une prédilection pour les beaux étalons. Perfide elle me renvoyait d'un coup à mon statut de ringard. Elle me concédait et me faisait une fleur ce jour-là. N'étais-je point un triste sire avec mes cheveux blancs et ma bonne bidoche ? Il est vrai que je recourrais au viagra pour la posséder. Elle avait choisi de prendre en bonne part cette relation grotesque. Elle me dit : « J'ai hâte de monter là-haut avec toi. La vue y est magnifique. » Nous partîmes champagne et seau de glaces sous le bras. Dans l’ascenseur elle se laissa embrasser.Je la tripotais sans cesse. Me traitant de vieille baderne j'avais droit à la ravaler en prostituée de bas étiage. Ma main glissât sous sa jupe. Mes doigts avaient déjà fureté vers sa chatte et son mignon trou de cul. La vue était en effet magnifique. Nous surplombions tout l'Ouest parisien avec l'échangeur du périphérique et le bois de Boulogne adjacent. A cette heure le soleil déclinantnous inondait de lumière conférant cette ambiance d'or à nos deux corps. Je tins à ce qu'elle suçât devant la baie vitrée comme au su de tout le monde. Elle s’exécutât en cela avec zèle.Hormis quelques anges ou démons qui pouvaient nous observer à cette hauteur ? Elle pompait sans réticence ma queue. On eût dit qu'elle passait un examen et voulait convaincre un jury de sa compétence. Je songeais au pauvre mari qui lui ignorait tout ce talent. Il n’eut pas survécu à cette ...
    ... révélation. Sa femme était une traînée. Le sexe et son assouvissement lui étaient consubstantiels. A cette heure j'eus pu être n'importe quel homme nanti d'une bite. Nous baisions tels deux bêtes en toute conscience. Je la pris debout et par-derrière contre la baie si chaude et phosphorescente.Son petit cul répondait avec flamme à chacun de mes coups de boutoir. Elle ponctuait cela de grognements et d'interjections vulgaires. Que de chemin accompli entre la femme digne et austère que j’avais connu et la gorgone exaltée et lubrique qui m'exhortait maintenant à la mieux défoncer.Elle avait raison je m'étais pourvu de substances pour ne plus débander. Mon pieu pourrait la contenter et à n'en plus finir. Nous nous escrimâmes en peu de temps à toutes les positions dans le lit. J'appréciais qu’elle goûtait qu'on l'enculât. J'en avais tant rêvé ces derniers temps.Nous marquâmes une pause cependant aux alentours de seize heures. Elle me rassura. Nous avions encore quatre bonnes heures devant nous. Notamment elle acceptât que nous dînions plus tard et que je fis monter des plats raffinés. Nous allions assister ensemble à la chute voire à la mort du soleil. Il ferait plus sombre et froid. Nous serions des assassins. Cette perspective nous fit rire. Nue son corps demeurait remarquable. Je ne m’attendais à une si belle surprise. Par trop timoré j'hasardais cependant que j'aimerais la revoir et la baiser de nouveau. Elle sembla ne pas refuser. 
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