1. Aparté


    Datte: 30/05/2018, Catégories: hh, hplusag, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral hdanus,

    ... de mon cou, m’attira à lui. Je perçus sa verge déjà poisseuse contre mon abdomen. — C’est bon de te sentir en moi ! Baise-moi tout de suite ! Je veux être ta maîtresse. Y’a pas que moi qui pensais à lui comme à une femme. Je me redressai et maintins de mes bras tendus ses cuisses contre ses épaules. En appui sur mes orteils, jambes tendues, je coulissai dans ses entrailles bien huilées. D’abord à un train de sénateur, mes couilles allaient toucher délicatement ses fesses puis ma bite sortait presqu’entièrement pour replonger aussitôt. Il avait pris mon visage entre ses mains et planté ses yeux dans les miens. Je lisais dans son regard les tentatives qu’il faisait pour se contrôler, les montées ou descentes d’adrénaline. Mon pilonnage, s’accordant à ses variations, se faisait plus pianissimo, plus allegro ou même, aux moments les plus chauds, s’accordait une trêve. Il gémissait, proférait des sons inarticulés desquels émergeaient parfois quelques mots compréhensibles : « Oui, oui… Continue… encore plus loin » et surtout « Je t’aime ». Je ne saurais dire combien de temps cela dura. J’avais déjà joui deux fois depuis mon réveil et je contrôlais parfaitement la situation. Aucun problème à tenir l’érection le temps qu’il faudrait. Je voulais l’amener le plus loin possible, le plus haut possible, le plus longtemps possible. Soudain son regard chavira. Sa bite fut agitée de soubresauts convulsifs. Un foutre se répandit contre mon abdomen. Ce liquide tiède et gluant me fit perdre ...
    ... le contrôle. Je passai la surmultipliée. Transformation du coulissage de papy en pistonnage féroce. Mes couilles frappaient son cul avec violence. Mots sans suite… Onomatopées… Souffles affolés… Concerts à deux voix… Sueur… Chaleur… Cœur emballés… Ma bite gonflée, gonflée, gonflée… De l’air… Délivrance… Foutre projeté dans ses entrailles… Sa bite, un dernier jet… « Je t’aime, je t’aime, je t’aime »… Essoufflé, je m’écroulai sur elle. Elle qui me couvrait le visage de baisers, qui continuait de débiter ses mots d’amour. Elle, ce n’était pas elle, c’était lui ! La tempête s’apaisa, nous restions enlacés, apaisés, silencieux. Un grandpfoooooooooooooouuuut. Le matelas venait de rendre l’âme. La valve n’avait pas supporté la dernière charge et il se dégonflait lamentablement. Retour à la réalité ! Nous nous regardâmes et prîmes un fou rire d’anthologie. Le reste de la journée s’écoula comme un rêve. D’abord, pour nous remettre de nos émotions, nous avions piqué une tête dans la piscine où nous batifolâmes comme deux ados. Ensuite munis de quelques rafraichissements, nous nous étions vautrés à nouveau sur le matelas sans prendre la peine de le remonter. Bavardages sans importance, papouilles, tendres caresses, doux baisers meublèrent très plaisamment l’après-midi. Sur le soir, le désir aiguillé par nos câlins à répétition se rappela à notre bon souvenir. Le matelas dégoutté se reconvertit en baisodrome. J. C. conduisit le bal sur ce second round. Assis sur mon ventre, mon pénis ...