1. Ma voisine antillaise


    Datte: 30/05/2018, Catégories: fh, fagée, couleurs, gros(ses), grosseins, Oral

    ... avec moi me disait-elle. Pour la première fois, la présence d’un homme semblait éveillée en elle un désir qu’elle n’avait plus connu depuis bien longtemps. Anita m’a avoué plus tard s’être même sentie un peu mal à l’aise, redoutant ma réaction vis à vis du jeu de séduction qu’elle avait entrepris. Elle avait apparemment tout prévu. Elle est venue très vite se mettre à mes cotés. Sans y paraître, elle a effleuré plusieurs fois mes mains ou mes bras. Son doux parfum et la proximité d’une paire de seins aussi gros avaient eu raison de moi. Je bandais dur. J’avais peur de faire le premier pas. Je fus vite rassuré car Anita est venue peu face à moi. Elle s’est lentement avancée, a enroulé ses bras autour de ma taille et a posé son visage sur ma poitrine. Je ne sais pas si cela pouvait s’interpréter comme une marque de simple affection ou comme une pulsion sexuelle de sa part, toujours est-il que j’en ai profité pour poser mes deux mains sur son large fessier. J’ai commencé à lui pétrir les fesses. Elle ne bougeait pas. Elle avait sa tête calée sur ma poitrine et son souffle se faisait un peu plus rapide. J’étais surexcité. Une pulsion quasi bestiale s’est emparée de moi. D’un mouvement sec et rapide, sa robe s’est retrouvée sur le sol. Elle se laissait faire et ne disait mot. Ses grosses fesses charnues débordaient de sa culotte en dentelle. Nous avons glissé de quelques pas sur le côté afin de ne plus être face à la fenêtre. Nous étions presque contre un petit meuble d’environ un ...
    ... mètre de haut sur lequel se trouvait notamment le téléphone. Le silence régnait dans la pièce. Seuls nos souffles plus rapides se faisaient entendre. Nos regards se sont croisés furtivement. Anita tremblait et ne semblait plus rien maîtriser de la situation. J’ai posé mes mains sur ses épaules. Je l’ai lentement retournée. Elle était toujours contre moi, mais de dos cette fois-ci. Mon chibre tendu à l’extrême est venu se caler entre ses deux fesses. J’ai passé mes deux mains sous ses épaules afin d’attraper les objets de ma convoitise. Je caressais ses seins sur son pull. Cela semblait lui plaire car elle poussa un petit cri. Ses tétons durcissaient et ils semblaient très gros même à travers son pull et leur prison de dentelle. Anita posa ses mains sur le petit meuble devant et elle accentua encore la pression de son gros fessier sur ma bite. Mes mains sont descendues lentement vers sa culotte en dentelle blanche. Je n’ai eu aucune résistance sa part. Elle leva chacune de ses jambes afin d’ôter entièrement son slip déjà trempé sous l’effet de l’excitation. La peau mate de ses fesses était douce et chaude. De petites traînées brillantes le long de son entrejambe montraient qu’elle semblait prête à me recevoir. J’ai rapidement ôté mon pantalon et mon caleçon afin de libérer ma queue transie de désir. Je n’avais, comme elle, gardé que le haut de mes vêtements. Elle ne bougeait plus maintenant. Sa respiration se faisait encore plus rapide. J’ai frotté ma bite sur ses deux fesses ...
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