1. Ma voisine antillaise


    Datte: 30/05/2018, Catégories: fh, fagée, couleurs, gros(ses), grosseins, Oral

    ... nues. Mon gland violacé est ensuite venu au contact de l’entrée de son antre bouillonnant. La sensation que me procurait le contact de ses longs poils pubiens humides était divine. D’un mouvement de hanches, je l’ai lentement pénétré. Elle était large. Je paraissais flotter en elle, même si ma bite était pourtant d’une taille certaine. J’ai commencé à la pistonner en m’agrippant à ses larges hanches charnues. Elle feulait sous l’effet de mes coups de butoir. Elle se cambrait un peu afin d’augmenter encore le plaisir du frottement de mes couilles à chaque fois que je la pénétrais entièrement. Elle poussait de petits cris secs à chacun de mes mouvements de va-et-vient. Je sentais le désir monté en moi au bout de quelques minutes. Je serrais encore plus fort ses hanches afin d’augmenter la cadence de mes coups de butoir. J’ai joui en elle par de longues saccades de sperme chaud et épais. Je lui remplissais le con de ma semence blanchâtre. Manifestement, elle n’avait pas entièrement joui, ce qui fit naître en moi une certaine gêne. Je ne pouvais pas la laisser ainsi, elle qui venait de me donner tant de plaisir. Je m’étais retiré. Elle s’est saisie de sa culotte afin d’essuyer le sperme qui coulait le long de l’intérieur de ses cuisses. Je l’ai prise par la main en lui souriant. Elle était radieuse. Je l’ai dirigée vers le fond du salon. J’hésitais à entrer dans la pièce masquée par le grand voilage. C’est elle qui a pris l’initiative d’entrer la première dans la pièce. ...
    ... Surprenant. C’est vraiment la première impression qui surgit lorsque l’on entre dans la chambre d’Anita. C’est surtout le parfum enivrant qui se dégage des lieux qui procure cette sensation. Un grand lit en bois foncé trône au centre de la pièce. Les volets de la pièce sont entièrement clos. La lumière tamisée donne aux lieux une forme d’intimité toute particulière. De nombreuses bougies sont disposées sur chaque meuble. Anita m’abandonna un instant près du lit et se dirigea vers une commode située de l’autre coté. Elle ouvrit un tiroir et se saisit d’une petite serviette en éponge blanche qu’elle amèna instantanément vers sa chatte velue. Elle s’est essuyée ainsi un long moment, recueillant une grande partie de mon sperme. Je l’ai rejoint près de la commode. Son lit était recouvert par une couverture en mousseline blanche douce et agréable au toucher. Je l’ai prise par les hanches et je l’ai embrassé dans le cou. Elle posa sa serviette souillée par mon jus sur la commode et elle ouvrit un second tiroir. Je n’ai pas tout de suite prêté attention à ce qui se trouvait dans le tiroir, il faut dire que j’étais totalement obnubilé par l’envie de voir enfin au grand jour ses deux grosses mamelles. Je pétrissais ses seins avec vigueur lui montrant explicitement mon envie de la voir retirer son pull. Je m’étais mis torse nu. Elle lâcha le tiroir qu’elle tenait d’une main pour ôter son pull à col roulé. Ses seins jaillirent devant mes yeux. Ils étaient encore plus gros que je ne l’avais ...
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