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Ma voisine antillaise
Datte: 30/05/2018, Catégories: fh, fagée, couleurs, gros(ses), grosseins, Oral
... imaginé. Elle s’est retournée afin que je puisse dégrafer son soutien-gorge et enfin libérer ses deux grosses outres. Elle fit demi tour et était maintenant entièrement nue face à moi. Je bandais à nouveau très dur. Ses deux aréoles et ses deux tétons gonflés avaient du mal à paraître au milieu de ces deux énormes morceaux de chair un peu tombants mais rudement appétissants. Je n’avais qu’une envie, me jeter dessus et leur infliger un traitement dont elle se souviendrait longtemps. C’est à ce moment précis que mon regard s’est posé sur le contenu du tiroir qu’Anita venait d’ouvrir. Je n’en croyais pas mes yeux. Il y avait là tout l’attirail de la femme seule. Godes de différentes tailles et de différents diamètres, vibromasseur, crèmes, boules de geisha, … Très vite, j’en ai déduis qu’Anita avait l’air très porté sur le sexe. Tout cela ne fit qu’accentuer le désir que j’avais encore pour elle. À partir de ce moment, c’est elle qui dirigea les opérations. J’étais toujours sous l’effet de ce que je venais de découvrir, quant Anita s’est approchée de moi. Elle a posé l’une de ses mains sur mon torse. Son autre main s’est dirigée vers le tiroir ouvert. Elle en a sorti un gode. Il était de couleur rouge. Le plus impressionnant était son diamètre. J’ai vite fait la relation entre son antre distendu et les plaisirs auxquels elles devaient s’adonner avec l’objet qu’elle tenait maintenant à pleine main. Elle porta le chibre fictif à sa bouche et mima une douce fellation. Elle ...
... m’invita à m’asseoir dans un petit canapé deux places situé à environ 1,50 mètre du lit. J’étais nu, la bite en pleine érection, à attendre la suite qu’Anita allait donner à tout cela. Je n’avais qu’une envie, lui sauter dessus. Elle me dit d’attendre un moment et que mon heure arriverait très vite. Elle se mit assise au centre du lit face à moi, ses grosses jambes largement écartées. J’avais une vue imprenable sur sa grosse chatte abondamment poilue et visqueuse. Elle continua un moment à sucer le gode qu’elle tenait dans sa main gauche. Petit à petit, elle le descendit vers son sexe brillant. Lentement le bout du gode étirait ses chairs intimes. Le plaisir que cela lui procura fut instantané. Elle semblait jouir en silence. Les rictus de son visage en disaient longs sur l’effet que cela lui produisait. Les bouts de ses seins durcissaient et avaient augmenté de volume. De sa main libre, elle me fit signe d’approcher d’elle. Elle avait augmenter la cadence et son gode avait quasiment disparue en elle. Seuls quelques centimètres restaient visibles. Elle ne le tenait plus que de trois doigts. Elle mouillait énormément. Elle avait pu s’introduire le gode sans aucune lubrification au préalable. J’étais subjugué par ce spectacle. Ses yeux étaient mi-clos. J’étais debout contre le lit, à quelques centimètres d’elle, ma bite tendue à la main. J’avais entrepris de me masturber lentement. Elle recula vers la tête de son lit, posant ses deux coudes sur chacun de ses oreillers. Elle me demanda ...