1. La force d'interaction gravitationnelle universelle


    Datte: 30/05/2018, Catégories: ff, profélève, école, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral ecriv_f,

    Ayant à peine oublié les odeurs et l’ambiance juvénile des salles et de la cour de ce lycée ou j’avais passé 3 années mémorables, voilà que je m’y suis retrouvée plongée, mais en temps que prof cette fois. Ayant eu mon Bac S très jeune ( 16 ans), j’avais passé 5 années d’études à la Fac de sciences avec une Maîtrise suivie du Capes en Physiques Chimie à la clef. Se voir à 23 ans enseigner à des jeunes dont certains ont à peine 3 ans de moins que moi, me donnait l’impression inconfortable d’avoir trop vite franchi le fossé de la table des élèves au bureau du prof.. D’ailleurs, sachant qu’il me manquait la maturité nécessaire pour occuper cette fonction, je m’appliquais, pour bien cadrer avec mon rôle et gagner du respect, à reproduire les attitudes et expressions des profs qui m’avaient enseigné et qui avaient gagné le respect des élèves. Il le fallait car en tant que femme, pour ne pas dire jeune femme, les jeunes, surtout les garçons n’allaient pas se priver de prendre l’ascendant sur moi s’ils ressentaient chez moi l’inexpérience et le manque d’assurance ! Parmi les classes, j’avais évidement hérité d’une des 5 classes de première S (Scientifique)de l’établissement, ainsi que d’une classe de Terminale S. Je m’efforçais, à chaque cours, de rester concentrée sur ma pédagogie et la chronologie de mon enseignement. À ce niveau de fin du secondaire, et dans ces classes d’élèves plutôt sérieux et attentifs, plutôt que de lutter contre l’indiscipline, je fut confrontée à quelques ...
    ... élèves qui, visiblement, au lieu de suivre le cours, étaient plutôt préoccupés à me « dévêtir » du regard, à se « nourrir » littéralement les yeux de mon corps. Il est vrai que je reconnais avoir été assez avantagée par la nature et, n’aimant pas les robes et jupes trop amples, j’excelle dans le choix des linges moulants qui épousent parfaitement le relief de mon corps. Mais je ne pensais pas avoir un effet aussi manifeste sur au moins 5 élèves par classe. Et ce qui me surprit le plus est que, parmi ces 5 ou 6 élèves qui ont du mal à masquer leur intérêt voyeur, 2 ou 3 étaient des filles !!! J’avoue qu’à cette époque mon attirance pour les femmes était indéniable, mais je n’avais pas encore atteint une maturité sexuelle suffisante et une connaissance assez profonde de ma propre nature pour « rejoindre » définitivement les rangs des Lesbiennes. Vous comprenez donc bien que, bien plus que pour les garçons, il m’a fallu déployer beaucoup d’énergie pour refouler ma sensibilité aux appels du regard de ces jeunes filles qui semblaient avoir une telle soif de mon corps que leurs bouches restaient quelquefois entrouvertes, figées dans une attente éperdue. Comme si elles espéraient que mon corps fonde et devienne un breuvage voluptueux qui s’écoulerait tendrement vers leur bouche !. Je m’étais déjà armée de la distance, des barrières mentales et de l’hermétisme me permettant de supporter ces signes tentateurs, ces sex-« appels », sans que cela ne me perturbe ni ne me monte à la tête ! ...
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