1. La force d'interaction gravitationnelle universelle


    Datte: 30/05/2018, Catégories: ff, profélève, école, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral ecriv_f,

    ... croisaient et se décroisaient périodiquement. Je ne pouvais que constater, impuissante et compréhensive à la distraction que cela créait sur un ou deux garçons émoustillés par le délicieux spectacle et dont le regard se figeait sur les cuisses de rêve. Placés de biais, juste une ou deux rangées en arrière, ils avaient une position nettement moins avantageuse que moi. Mais cela fut peut-être la cause de ma perte : le tissu rouge de la jupe avait atteint le niveau ultime de son repli, contre son bassin et cette séductrice précoce, comprenant la situation avantageuse dans laquelle elle avait placé son entrejambe, écarta suffisamment les cuisses pour révéler à ma vue un duvet de poils longs et frisés jouissant de la liberté que lui offrait une absence de slip. Le noir intense et brillant de cette toison frisée tranchait nettement avec la peau laiteuse et soyeuse de l’intérieur de ses cuisses. Ce spectacle indicible et fascinant fit un frisson me traverser le dos. Cette légère décharge de plaisir, amplifiée par le côté inattendu de ce pubis juvénile sans slip, avait certainement abaissé une de mes barrières car mon regard qui, jusque là avait été, malgré moi, impassible et fuyant, avait du être, durant deux ou trois trahissantes secondes, insistant et intéressé. Et après ces trop courtes secondes de délectation, mes yeux, en remontant vers le visage de l’élève, constataient, à mon grand malheur, que son regard, figé dans mes yeux, était à la fois intense, glacial, doux et ...
    ... interrogateur. Ses yeux étaient alors empreints d’un message poignant vers mes yeux : « Tu as l’air d’apprécier, on dirait, ma chérie !! N’hésite pas car je m’offre à toi ! Admire encore !! « L’espace d’un éclair, le temps bref que nos regards se croisent et que je me détourne, elle avait certainement lu en moi comme dans un livre ouvert, me dévoilant alors à elle dans toutes mes faiblesses et penchants lesbiens. Il m’a fallu quelques minutes pour reprendre mes esprit et je me suis ménagé une issue de secours : je suis allée m’asseoir à mon bureau, prétextant un exercice d’application que je proposais à la classe de faire, prenant mon livre et tournant les pages avec une nervosité mêlée de petits tremblements d’émotion, demandant aux élèves de prendre leur livre et leur indiquant un numéro d’exercice pris au hasard dans le chapitre que l’on traitait. Durant les deux ou trois minutes de réflexion que je leurs ai accordées, j’ai pu retrouver mes esprits, apaiser mon trouble intérieur et essayer de me nourrir de deux espoirs : 1) qu’aucun autre élève n’avait compris la scène et la charge émotionnelle qui m’avait envahie et 2) qu’en fait elle n’avait rien perçu du tout et que tout cela n’était que le fruit de mon imagination. Je la regardai de nouveau pour tenter de nourrir mon espoir en ne guettant aucun changement dans son expression. Au contraire, ce deuxième espoir vola vite en fumée car, attendant que mon regard se pose sur elle, elle se souleva légèrement et ramena avec une lenteur ...
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