1. La force d'interaction gravitationnelle universelle


    Datte: 30/05/2018, Catégories: ff, profélève, école, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral ecriv_f,

    ... Je me suis dit que l’école, surtout à l’âge de mes élèves, ne pouvait pas être le reflet vivant de la vie sociale et relationnelle entre les humains, peuplée d’amour, de séduction, d’attirance, de désirs, de penchants et, naturellement, de sexe. Me revint alors à la mémoire les instants mielleux et émoustillants des amourettes entre filles et garçons, entre filles et filles et même entre élèves et profs, instants peuplés de ces riches espérances en édifications et en consommations souvent inassouvies, et qui ont agrémenté chaleureusement mes 3 années au lycée. Je comprenais donc (et même quelque peu m’en amusais), ces manifestations vibrantes de passions juvéniles animant mes élèves. Parmi les filles, il faut reconnaître qu’il y en avait une qui se détachait nettement par l’ampleur de l’investissement permanent de tout son être dans son désir et son aspiration à jouir de mon corps. J’avais toujours l’impression qu’elle ne suivait pas le cours et ne pensait qu’à un rapprochement charnel avec moi. Pourtant les quelques fois ou je l’ai interrogée durant le cours et les résultats de ses contrôles écrits prouvaient qu’elle n’était pas tout a fait déconnectée du cours et qu’elle avait une intelligence vive. Elle semblait avoir voué son corps à une quête ardente de sensualité, un déploiement varié de séduction. Ses grands yeux à la fois langoureux et perçants semblaient ne jamais se détacher de moi, me déshabillant, me dénudant, me léchant et me violant entièrement tout le corps ...
    ... !! Ses mouvements, ses petits gestes discrets, soit disant inconscients et innocents, pouvaient laisser un doute quant à ses réelles intentions. Mais leurs démultiplications et leurs orientations évidentes et trop importantes vers un seul individu me donnaient la quasi-certitude que sa volonté de me charmer était grandissante. Elle s’était placée au premier rang pour mieux me reluquer et aussi pour que je ne perde aucun de ses gestes, pour avoir un impact plus puissant sur moi . Assez souvent elle passait sa langue sur ses lèvres au moment ou mon regard croisait le sien. Ses doigts, en peigne vivant, venaient trop souvent animer la cascade de sa longue et volumineuse chevelure. Elle accompagnait alors ce geste sensuel d’un mouvement circulaire de la tête qui augmentait les mouvements d’ondulation générale de ces vagues d’ébène brillant. Depuis qu’elle s’est définitivement placée au premier rang, j’avais remarqué qu’elle ne mettait que des robes ou jupes suffisamment courtes et moulantes au niveau des cuisses et des hanches pour que, étant assise, le bas de son vêtement remonte très haut sur ses cuisses qui se révélaient alors fermes, bien charnues et basanées à souhait ! Chaque fois, malgré moi, ne pouvant résister au désir brûlant de jeter un discret coup d’œil de temps à autre vers les cuisses de ma séductrice, j’assistais à la remontée folle du fin tissu qui se repliait à frémir jusqu’à la naissance de ses cuisses, aidée par le jeu extrêmement érotique de ses jambes qui se ...
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