La force d'interaction gravitationnelle universelle
Datte: 30/05/2018,
Catégories:
ff,
profélève,
école,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
ecriv_f,
... pas que l’on pourrait rajouter cela à votre cours, Madame ?— Non, oui, enfin, arrête Gabri… A peine a-t-elle fini de parler qu’elle se mit à entreprendre une descente vertigineuse de sa tête sur la surface de mon corps en une danse sublime de la langue et des lèvres, alternant léchons, mordillons, vrilles de langue, bisous variés sur mes lobes d’oreilles, mon cou, mes épaules, mes seins, mes mamelons, mes aisselles, mon ventre, mon nombril, et pour finir sur mes cuisses et dans mon entrejambe. Je me tendais puis me relâchais périodiquement sous l’intensité insoutenable du bien-être charnel qu’entraînaient ses caresses pourtant maladroites et désordonnées. Elle suivait les crispations et étirements jouissifs de mon corps comme si nous étions deux cordes charnelles d’un même instrument qui vibraient en phase afin de jouer, à cette fête de nos sens, une lancinante et envoûtante musique lubrique harmonisée avec nos cris et gémissements. Durant ce concert d’offrande buccal je fus parcourue tour à tour par des épines de plaisir aux seins, des frissons d’excitation sur la peau, des vagues de fièvre chaudes dans mon sang et des remous profonds de jouissances dans ma chair. Pour lui faciliter l’accès à mon vagin, grotte de plaisir, à ma vulve, orchidée de délice, à mon clitoris, perle de volupté que je sentais tendue et voulant jaillir de mon huître de chair, je me suis assise à moitié sur mon bureau et j’ai bien ouvert les jambes. Emportée par un tourbillon sensuel irrésistible, ...
... par une folle tornade de désir, j’oubliais le lieu, ma fonction, la nature de Gabrielle, pour m’offrir sans pudeur à la bouche et aux mains de ma jeune amante, aspirant à ce qu’elle me dévore toute entière de ses caresses. Gabrielle s’est alors un peu écartée et elle est restée quelques secondes à admirer mon sexe exposé largement à son regard. Ses yeux se sont élargis, sa bouche s’est ouverte et les trous de ses narines se sont agrandis, trahissant chez elle admiration et extase mêlées à un appétit sexuel majeur. Mes lèvres brunes, gorgées du sang de mon désir ravageur, devaient avoir pris une appétissante couleur de prune bordeaux, vernissée par ma liqueur génitale. Après mes émissions et les frottements de cuisse, les poils de mon pubis exposé, métissés et frisés, devaient être baignés délicieusement de mon nectar féminin étincelant sous la lumière du tube néon. Le tout devait baigner dans des émanations de suaves parfums et une odeur intime forte et attirante provoquée par ma fièvre sexuelle et mon désir charnel explosif. Est-ce la fièvre de sa jeunesse, son désir de mon corps retenu depuis des semaines, ou la conscience qu’elle avait peu de temps pour prendre le maximum de moi, elle plongea avec précipitation et sans approche sa bouche dans ma vulve inondée et chaude. Sa langue n’a pas eu besoin de longues caresses que je sentais déjà monter le picotement de mon bas-ventre et les contractions de mon vagin annonciateurs d’un proche orgasme. Elle avait raison de précipiter ...