1. Un week-end torride. Samedi


    Datte: 02/06/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, parking, amour, volupté, Masturbation Oral jeu, yeuxbandés, ecriv_c,

    ... Quelqu’un que tu connais bien, très bien… Interloquée elle réfléchit, puis explose : — Laure ! s’écrie-t-elle, Laure ! C’est vrai ? Elle se précipite et ouvre doucement la porte de la chambre. Un coup d’œil lui confirme l’événement. Clara est ravie, complètement excitée. — Laure ! Laure ! Attends, je vais la rejoindre ! Pour une surprise ! Et sans plus attendre, je la vois se déshabiller rapidement, jetant ses vêtements à travers le salon. — Clara ! m’écrié-je, mais ça va pas, non ! Maintenant en slip et soutien-gorge – décidément sacrément bien fichue ! – elle rentre dans la chambre et très doucement, se glisse dans les draps. Je reste sur le pas de la porte à observer, hilare. On va rire… Laure a senti un mouvement, une odeur… Elle bouge, se tourne, me cherche d’une main, touche le bras de Clara et s’immobilise. Sa main cherche à nouveau, palpe, rencontre le soutif de son amie. Comme si c’était brûlant, elle sursaute et se dresse brusquement sur un coude. Un cri perçant : Laure réalise que ce n’est pas moi… Puis un autre cri, suivi d’un « Ah ! Clara ! » Laure s’assoit, poitrine à l’air, et l’attrape par un bras. — Clara ! Mais qu’est-ce que tu fous là ! Alors ça ! Mais tu es à poil ! Et Jean-Pierre, où est-il ? Ah ! les vaches ! Nous éclatons de rire Clara et moi. Laure, abasourdie, m’aperçoit debout au pied du lit. Du coup, elle a le réflexe de se couvrir. D’abord furieuse une seconde, elle comprend et éclate de rire. — Clara était venue me faire la surprise des ...
    ... croissants… précisé-je de manière à rendre la situation plus claire. Laure se laisse tomber en arrière, puis se relève et joue à agresser son amie à coup d’oreillers, cherche à la pincer, à la virer du lit. — Salope ! lui lance-t-elle, j’ai eu une de ces peurs ! Et toi, ici, couchée ! Attends ! Toute nue toi aussi, enlève ces trucs, fais voir comme tu es moche, fais voir tes gros nichons flasques ! Clara n’est pas en reste : — Pinbèche, mal baisée, lesbienne, essaie donc, je broie ta moule pas fraîche ! Je décide de les laisser… Elles ont tellement de choses à se dire ! o-o Le chahut dure un bon moment, ponctué de pauses pendant lesquelles je perçois leurs jacasseries… La faculté des filles à pouvoir parler entre elles pendant des heures ! Je vaque, comme on dit, à diverses occupations, attendant qu’elles aient achevé leurs retrouvailles, et qu’enfin elles se lèvent… Soudain je remarque le silence. Aucun son ne me parvient plus de la chambre. Se seraient-elles endormies ? Curieux, plus qu’inquiet, je tends l’oreille derrière la porte. Je perçois des froissements de draps, des gémissements discrets. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Non ! Seraient-elles en train de se faire un câlin ? Sacrifieraient-elles à leur double nature, pour chacune depuis longtemps mise en veilleuse ? En fait, rien d’étonnant ! Mais quand même ! Et moi comme un con derrière cette porte, à attendre ! Un cri, en trémolo : « Ahhhh ! », je reconnais Laure. Un autre, plus puissant, rauque : « Ahhhhhhh ! », ...
«1234...11»