1. L'appel d'offres


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, fhh, hplusag, extracon, Collègues / Travail fsoumise, facial, Oral fist, double, fsodo, ecriv_f,

    ... pas au moins, surtout oubliez le lien hiérarchique professionnel pour ce soir, je veux que vous soyez la plus détendue possible, vous me semblez terriblement contractée, presque distante, non ?— Non, non, je dois reconnaître que vous m’impressionnez un peu. Il sourit, il rit presque. — Je vous trouve un côté petite fille tout à fait charmant quand vous me parlez, vous qui êtes capable de vendre des choses à des marges éhontées à nos clients, vous seriez impressionnée par ma pauvre personne, Christine voyons, vous plaisantez ! Il s’est rapproché et a pris ma main qu’il caresse doucement. — N’ayez aucune crainte, nous allons passer une soirée très agréable. Et elle le fut ! La culture générale de cet homme est sans limite ; pendant tout le dîner nous parlons de tout, politique, art, littérature, de nos vies également, presque comme l’auraient fait deux personnes en rendez-vous de célibataires. Je n’ai pas vu passer les 2 heures de notre repas. Malgré moi je suis rentrée dans son jeu de séducteur avec passion et malice. Le repas terminé, nous nous sommes levés et avons rejoint la voiture ; à nouveau, en franchissant la porte, sa main a accompagné mon passage, dans mon dos cette fois-ci, au creux de mes reins et cette sensation m’a cristallisée sur place. Cette zone est si sensible chez moi, si érogène, j’aime qu’on me masse les reins. J’ai à nouveau songé à ce qui me rapprochait de cet homme, ce qui m’en éloignait et l’étrange magnétisme qu’il dégageait. Il est à peine 23 heures ...
    ... et j’ai repris place dans la luxueuse berline, déplacé mon trouble du restaurant à la voiture. Nous nous arrêtons à un feu rouge. Doucement, la main gauche de Michel est venue se poser sur mon genou. — Tout va bien, Christine ? La main flatte doucement l’étoffe de ma longue robe fine, je suis comme paralysée, ma respiration s’accélère, les grandes bouffées d’air que je tente d’avaler gonflent ma poitrine et tendent le tissu du vêtement. Le feu passe au vert, la main me quitte un instant, puis nous rejoignons une file de voitures bloquées. La main revient, sur le haut de mon genou et caresse maintenant doucement le bas de ma cuisse. Je suis tendue comme un arc. Un interphone grésille. — Nous risquons d’être bloqués quelques minutes, Monsieur.— Merci Charles. Il se retourne vers moi.— J’habite à deux pas, que diriez-vous de venir déguster un petit cocktail sur ma terrasse, nous éviterions ainsi cette maudite circulation. Aucun mot ne peut sortir de ma bouche, je suis statufiée, il sourit. — Comme on le dit souvent, qui ne dit rien consent et j’en suis ravi, vous êtes décidément une bien charmante compagnie pour cette belle soirée. Je le regarde à peine et souris, bêtement crispée. Quelques minutes plus tard nous entrons dans un immense garage d’immeuble d’habitation. Michel accompagne mes mouvements… que ce soit pour passer une porte ou entrer dans l’ascenseur, ses contacts physiques sont toujours à la limite entre contact informel ou fortuit et caresse précise et féline, sous ...
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