1. L'appel d'offres


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, fhh, hplusag, extracon, Collègues / Travail fsoumise, facial, Oral fist, double, fsodo, ecriv_f,

    ... les bons offices d’une main experte. Nous arrivons bientôt au seuil d’un vaste appartement, meublé avec goût et grand luxe. Je précède Michel dans la petite entrée. J’ai fait quelques pas et pour la première fois, placé derrière moi, ses bras viennent m’enserrer. — Oh Christine… il a le souffle court, la voix très basse et sensuelle, son souffle chaud vient à mon cou, ses mains ont enserré mes hanches et avancent doucement vers mon ventre. Il vient me déposer un baiser dans le cou, lèche doucement le lobe de mon oreille droite. Je n’ai pas bougé, son emprise sur moi est totale, mon cerveau fige mes membres, je suis incapable de tout acquiescement ou de toute révolte. Il reste quelques minutes serré à moi, m’embrassant et m’étreignant tour à tour. Après cet interminable ballet de corps, sa main a trouvé la fermeture de ma robe. Je sens le petit fermoir métallique descendre avec une extrême lenteur le long de mon dos jusqu’au creux de mes reins, il ouvre les deux pans du vêtement et place ses mains à hauteur de mes côtes. Le contact de ses mains puissantes est indescriptible, c’est une vraie peau de serpent qui court sur ma chair de jeune femme, mille idées contradictoires parcourent ma tête : partir, céder, crier, cogner. Mais je ne fais rien, ne dis rien, je suis le pantin de mon patron. Il écarte un peu plus le vêtement et dénude mes épaules et mon buste. Sa langue vient chercher mon cou, lèche doucement ma nuque, ses mains font tomber le vêtement à mes pieds et ...
    ... m’invitent à le quitter complètement, je fais un pas pour libérer mes pieds de l’étoffe. J’ai juste mis une fine culotte de dentelle blanche qui me rentre dans les fesses sur le bas de ma chute de reins et un petit soutien-gorge à balconnets coordonné. — Vous êtes magnifique, une vraie déesse, un ange. Son pied vient taper le mien pour écarter un peu mes jambes. Je reste imperturbable quand ses doigts font doucement glisser ma fine culotte. Il s’est agenouillé derrière moi, il écarte doucement mes fesses et sa langue vient chercher mon intimité, par derrière, par malice, par vice. Ses deux mains écartent mes fesses et il lèche mon clitoris. Je gémis de façon obscène en me cambrant en arrière pour faciliter la caresse buccale. Je réalise avec horreur que mon sexe s’humidifie rapidement et que je ne retiens pas mes cris quand ses doigts rejoignent sa langue. Quatre doigts me fistent le sexe dans un mouvement rapide et régulier, j’ai écarté grand les jambes et reste prostrée, débout dans l’entrée de son appartement. Soudain, il se fait plus impatient, plus dominateur, plus brusque. Il me conduit jusqu’à la grande table de son salon, avec une force surprenante, il m’a couchée sur la table, le froid du verre tranche avec la tiédeur de mon corps en ébullition. Il a pris ma tête par les cheveux et juste entrouvert sa braguette. — Sucez-moi ! L’ordre est sec et autoritaire. La surface de son visage s’est transformée, l’atmosphère est plus lourde, la tension plus vive. Machinalement et ...
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