Un tendre au revoir...
Datte: 21/07/2017,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
hsoumis,
fdomine,
intermast,
Oral
pénétratio,
hgode,
uro,
sm,
attache,
gifle,
policier,
... faire blouser. Qu’est-ce que c’est bien d’être avec une gonzesse comme sézigue ! Sans elle, ma société n’existerait pas : elle s’occupe de tout ici ; moi, je suis le meilleur sur le terrain, mais je ne sais rien faire d’autre. Je suis donc passé au domicile de mon client, à Paris, avant le départ. Piouting, la baraque qu’il a celui-là ! Je ne sais pas trop ce qu’il dirige comme entreprise, mais en tout cas ça a l’air de courir. C’est un homme âgé d’une cinquantaine d’années, presque chauve, avec de petits yeux sous des sourcils chargés et une petite bouche contenant de nombreuses dents en or. J’ai négocié mon salaire qui est monté à quinze mille euros – eh eh ! Ça fait quand même dix briques – dont cinq mille payés immédiatly. Le multimillionnaire m’a aussi expliqué en détail la situation. Le hall de l’aéroport est bondé, il reste une demi-heure avant le décollage, je suis arrivé comme convenu avant mon client. Je dépose mes deux sacs sur le tapis roulant à destination de la soute à bagages, puis jette un œil en direction du parking. Une Mercedes noire (je ne fais pas de pub : ça aurait pu être une BMW, une Audi, mais je préfère les Mercedes) apparaît, le chauffeur ouvre la porte de la voiture et le millionnaire en sort ; ils ne font pas attention à moi. Deux minutes plus tard, une voix féminine bien bandante émise par les haut-parleurs annonce en anglais et français : Je sais que je suis à une place en première non loin du petit gros – mon client correspond à cette ...
... catégorie. Tous les passagers ont passé les portiques de sécurité sans qu’aucune arme ne soit décelée. Cela ne m’étonne pas beaucoup car les pirates de l’air – s’il y a une embrouille pendant le vol – ont dû bien préparer leur coup. Les hôtesses nous apprennent les règles de sécurité, puis l’avion décolle. Pendant un vol normal, j’aurais tiré une pute pour m’occuper, mais je ne le ferais pas aujourd’hui : tu m’imagines en train de baiser et d’être à nouveau interrompu, hein ? Non, je ne veux pas risquer d’être arrêté sur ma lancée… Alors, je réfléchis à toute cette histoire : à la situation, aux raisons qui pourraient pousser quelqu’un à commettre un coup de force pendant ce vol long courrier. Mon client est à la tête d’une société de je-ne-sais-quel-produit-de-haute-technologie, des charges utiles de satellite de surveillance, je crois. Il se rend aujourd’hui à San Francisco pour signer la fusion de son entreprise avec celle de son concurrent direct. Après cette transaction de plusieurs dizaines de milliards de dollars, la boîte aura le monopole dans sa catégorie. Le tigros m’a dit qu’il avait des raisons de penser que quelqu’un va essayer, par n’importe quel moyen, d’empêcher cela. Certes une telle fusion ne doit pas enchanter tout le monde, mais de là à faire détourner un A320 : faudrait être complètement cé-o-êne. Tant mieux, la paranoïa de mon client va me rapporter dix briques sans lever le petit doigt, je ne vais pas cracher dessus. En plus, cela me donnera l’occasion de faire ...